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© Frantisek Zvardon / Tél. : +33 (0)6 42 61 37 79 / f.zvardon@icloud.com
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STRASBOURG 2009 

 

Son histoire, marquée par une confluence de cultures, nous est révélée par les strates architecturales de notre patrimoine urbain.

Sa Grande Ile classée au Patrimoine mondial de l’UNESCO, son quartier allemand symbolisant son destin particulier mais aussi ses avancées en matière sociale, son quartier européen incarnant sa capacité à surmonter les divisions et à promouvoir la réconciliation dans une Europe pacifiée, en font une ville qui mérite que l’on se dévoue pour elle. Telle est mon intime conviction d’élu auquel les citoyens ont confié la gestion de la septième plus grande ville de France et telle est la vision que j’en ai.

Cependant, Strasbourg est multiple; elle est la somme des regards et des histoires particulières de celles et ceux qui l’ont traversée ou qui la vivent au quotidien. Le photographe Frantisek Zvardon nous offre ici sa propre vision, celle de l’instant particulier que constitue l’image, entre espace et temps, entre l’urgence de la capture dans le mouvement du vol et la profondeur de la ville qui semble comme transpercée.

En survolant ainsi la ville, il bouscule nos schémas habituels et nous fait abandonner la perspective qui nous fait voir notre environnement quotidien à hauteur d’homme. Il nous dote des ailes de l’oiseau filant au-dessus des toits qui saisit en une suite de séquences, des plans obliques. Il nous pourvoit de l’œil de l’urbaniste ou du cartographe, qui surplombe la ville et en maîtrise les contours et les percées : maisons ou toits en grappe, saillie des cours d’eau, alignement des ponts, enchaînements de ruelles et de placettes, dessins des jardins à la française, bâtiments modernes en dominos ou en cylindres superposés…

Il parvient à nous restituer la tonalité de notre enracinement dans cette terre, en faisant de la densité du grès rose la chair même de son œuvre photographiée, nous reliant ainsi à travers le temps à ceux qui, en l’an 1015, posèrent la première pierre pour l’édification de notre majestueuse cathédrale.

Ainsi, les hommes qui apparaissent ici ou là dans cet ensemble de clichés sont en vérité l’âme même de la ville, car leur création, leur habitat, leurs réalisations, pétrissent ces images de présence humaine, chaleureuse et dense, dans une sorte d’arrière-plan virtuel.

Je tiens à rendre hommage ici au récit que nous fait Frantisek Zvardon au travers de ses images, car il nous raconte la ville comme témoin privilégié de la vie.

Roland Ries

Sénateur-Maire de Strasbourg

 

Livre édité en 2005 par les Éditions Carré Blanc, à 25 000 exemplaires, format 27 x 33 cm

 

http-//www.carreblanc.fr/edition/villes-vues-du-ciel/collection/strasbourg

STRASBOURG 2009 

 

Son histoire, marquée par une confluence de cultures, nous est révélée par les strates architecturales de notre patrimoine urbain.

Sa Grande Ile classée au Patrimoine mondial de l’UNESCO, son quartier allemand symbolisant son destin particulier mais aussi ses avancées en matière sociale, son quartier européen incarnant sa capacité à surmonter les divisions et à promouvoir la réconciliation dans une Europe pacifiée, en font une ville qui mérite que l’on se dévoue pour elle. Telle est mon intime conviction d’élu auquel les citoyens ont confié la gestion de la septième plus grande ville de France et telle est la vision que j’en ai.

Cependant, Strasbourg est multiple; elle est la somme des regards et des histoires particulières de celles et ceux qui l’ont traversée ou qui la vivent au quotidien. Le photographe Frantisek Zvardon nous offre ici sa propre vision, celle de l’instant particulier que constitue l’image, entre espace et temps, entre l’urgence de la capture dans le mouvement du vol et la profondeur de la ville qui semble comme transpercée.

En survolant ainsi la ville, il bouscule nos schémas habituels et nous fait abandonner la perspective qui nous fait voir notre environnement quotidien à hauteur d’homme. Il nous dote des ailes de l’oiseau filant au-dessus des toits qui saisit en une suite de séquences, des plans obliques. Il nous pourvoit de l’œil de l’urbaniste ou du cartographe, qui surplombe la ville et en maîtrise les contours et les percées : maisons ou toits en grappe, saillie des cours d’eau, alignement des ponts, enchaînements de ruelles et de placettes, dessins des jardins à la française, bâtiments modernes en dominos ou en cylindres superposés…

Il parvient à nous restituer la tonalité de notre enracinement dans cette terre, en faisant de la densité du grès rose la chair même de son œuvre photographiée, nous reliant ainsi à travers le temps à ceux qui, en l’an 1015, posèrent la première pierre pour l’édification de notre majestueuse cathédrale.

Ainsi, les hommes qui apparaissent ici ou là dans cet ensemble de clichés sont en vérité l’âme même de la ville, car leur création, leur habitat, leurs réalisations, pétrissent ces images de présence humaine, chaleureuse et dense, dans une sorte d’arrière-plan virtuel.

Je tiens à rendre hommage ici au récit que nous fait Frantisek Zvardon au travers de ses images, car il nous raconte la ville comme témoin privilégié de la vie.

Roland Ries

Sénateur-Maire de Strasbourg

 

Livre édité en 2005 par les Éditions Carré Blanc, à 25 000 exemplaires, format 27 x 33 cm

 

http-//www.carreblanc.fr/edition/villes-vues-du-ciel/collection/strasbourg

STRASBOURG 2009 

 

Son histoire, marquée par une confluence de cultures, nous est révélée par les strates architecturales de notre patrimoine urbain.

Sa Grande Ile classée au Patrimoine mondial de l’UNESCO, son quartier allemand symbolisant son destin particulier mais aussi ses avancées en matière sociale, son quartier européen incarnant sa capacité à surmonter les divisions et à promouvoir la réconciliation dans une Europe pacifiée, en font une ville qui mérite que l’on se dévoue pour elle. Telle est mon intime conviction d’élu auquel les citoyens ont confié la gestion de la septième plus grande ville de France et telle est la vision que j’en ai.

Cependant, Strasbourg est multiple; elle est la somme des regards et des histoires particulières de celles et ceux qui l’ont traversée ou qui la vivent au quotidien. Le photographe Frantisek Zvardon nous offre ici sa propre vision, celle de l’instant particulier que constitue l’image, entre espace et temps, entre l’urgence de la capture dans le mouvement du vol et la profondeur de la ville qui semble comme transpercée.

En survolant ainsi la ville, il bouscule nos schémas habituels et nous fait abandonner la perspective qui nous fait voir notre environnement quotidien à hauteur d’homme. Il nous dote des ailes de l’oiseau filant au-dessus des toits qui saisit en une suite de séquences, des plans obliques. Il nous pourvoit de l’œil de l’urbaniste ou du cartographe, qui surplombe la ville et en maîtrise les contours et les percées : maisons ou toits en grappe, saillie des cours d’eau, alignement des ponts, enchaînements de ruelles et de placettes, dessins des jardins à la française, bâtiments modernes en dominos ou en cylindres superposés…

Il parvient à nous restituer la tonalité de notre enracinement dans cette terre, en faisant de la densité du grès rose la chair même de son œuvre photographiée, nous reliant ainsi à travers le temps à ceux qui, en l’an 1015, posèrent la première pierre pour l’édification de notre majestueuse cathédrale.

Ainsi, les hommes qui apparaissent ici ou là dans cet ensemble de clichés sont en vérité l’âme même de la ville, car leur création, leur habitat, leurs réalisations, pétrissent ces images de présence humaine, chaleureuse et dense, dans une sorte d’arrière-plan virtuel.

Je tiens à rendre hommage ici au récit que nous fait Frantisek Zvardon au travers de ses images, car il nous raconte la ville comme témoin privilégié de la vie.

Roland Ries

Sénateur-Maire de Strasbourg

 

Livre édité en 2005 par les Éditions Carré Blanc, à 25 000 exemplaires, format 27 x 33 cm

 

http-//www.carreblanc.fr/edition/villes-vues-du-ciel/collection/strasbourg

STRASBOURG 2009 

 

Son histoire, marquée par une confluence de cultures, nous est révélée par les strates architecturales de notre patrimoine urbain.

Sa Grande Ile classée au Patrimoine mondial de l’UNESCO, son quartier allemand symbolisant son destin particulier mais aussi ses avancées en matière sociale, son quartier européen incarnant sa capacité à surmonter les divisions et à promouvoir la réconciliation dans une Europe pacifiée, en font une ville qui mérite que l’on se dévoue pour elle. Telle est mon intime conviction d’élu auquel les citoyens ont confié la gestion de la septième plus grande ville de France et telle est la vision que j’en ai.

Cependant, Strasbourg est multiple; elle est la somme des regards et des histoires particulières de celles et ceux qui l’ont traversée ou qui la vivent au quotidien. Le photographe Frantisek Zvardon nous offre ici sa propre vision, celle de l’instant particulier que constitue l’image, entre espace et temps, entre l’urgence de la capture dans le mouvement du vol et la profondeur de la ville qui semble comme transpercée.

En survolant ainsi la ville, il bouscule nos schémas habituels et nous fait abandonner la perspective qui nous fait voir notre environnement quotidien à hauteur d’homme. Il nous dote des ailes de l’oiseau filant au-dessus des toits qui saisit en une suite de séquences, des plans obliques. Il nous pourvoit de l’œil de l’urbaniste ou du cartographe, qui surplombe la ville et en maîtrise les contours et les percées : maisons ou toits en grappe, saillie des cours d’eau, alignement des ponts, enchaînements de ruelles et de placettes, dessins des jardins à la française, bâtiments modernes en dominos ou en cylindres superposés…

Il parvient à nous restituer la tonalité de notre enracinement dans cette terre, en faisant de la densité du grès rose la chair même de son œuvre photographiée, nous reliant ainsi à travers le temps à ceux qui, en l’an 1015, posèrent la première pierre pour l’édification de notre majestueuse cathédrale.

Ainsi, les hommes qui apparaissent ici ou là dans cet ensemble de clichés sont en vérité l’âme même de la ville, car leur création, leur habitat, leurs réalisations, pétrissent ces images de présence humaine, chaleureuse et dense, dans une sorte d’arrière-plan virtuel.

Je tiens à rendre hommage ici au récit que nous fait Frantisek Zvardon au travers de ses images, car il nous raconte la ville comme témoin privilégié de la vie.

Roland Ries

Sénateur-Maire de Strasbourg

 

Livre édité en 2005 par les Éditions Carré Blanc, à 25 000 exemplaires, format 27 x 33 cm

 

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STRASBOURG 2009 

 

Son histoire, marquée par une confluence de cultures, nous est révélée par les strates architecturales de notre patrimoine urbain.

Sa Grande Ile classée au Patrimoine mondial de l’UNESCO, son quartier allemand symbolisant son destin particulier mais aussi ses avancées en matière sociale, son quartier européen incarnant sa capacité à surmonter les divisions et à promouvoir la réconciliation dans une Europe pacifiée, en font une ville qui mérite que l’on se dévoue pour elle. Telle est mon intime conviction d’élu auquel les citoyens ont confié la gestion de la septième plus grande ville de France et telle est la vision que j’en ai.

Cependant, Strasbourg est multiple; elle est la somme des regards et des histoires particulières de celles et ceux qui l’ont traversée ou qui la vivent au quotidien. Le photographe Frantisek Zvardon nous offre ici sa propre vision, celle de l’instant particulier que constitue l’image, entre espace et temps, entre l’urgence de la capture dans le mouvement du vol et la profondeur de la ville qui semble comme transpercée.

En survolant ainsi la ville, il bouscule nos schémas habituels et nous fait abandonner la perspective qui nous fait voir notre environnement quotidien à hauteur d’homme. Il nous dote des ailes de l’oiseau filant au-dessus des toits qui saisit en une suite de séquences, des plans obliques. Il nous pourvoit de l’œil de l’urbaniste ou du cartographe, qui surplombe la ville et en maîtrise les contours et les percées : maisons ou toits en grappe, saillie des cours d’eau, alignement des ponts, enchaînements de ruelles et de placettes, dessins des jardins à la française, bâtiments modernes en dominos ou en cylindres superposés…

Il parvient à nous restituer la tonalité de notre enracinement dans cette terre, en faisant de la densité du grès rose la chair même de son œuvre photographiée, nous reliant ainsi à travers le temps à ceux qui, en l’an 1015, posèrent la première pierre pour l’édification de notre majestueuse cathédrale.

Ainsi, les hommes qui apparaissent ici ou là dans cet ensemble de clichés sont en vérité l’âme même de la ville, car leur création, leur habitat, leurs réalisations, pétrissent ces images de présence humaine, chaleureuse et dense, dans une sorte d’arrière-plan virtuel.

Je tiens à rendre hommage ici au récit que nous fait Frantisek Zvardon au travers de ses images, car il nous raconte la ville comme témoin privilégié de la vie.

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Livre édité en 2005 par les Éditions Carré Blanc, à 25 000 exemplaires, format 27 x 33 cm

 

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Son histoire, marquée par une confluence de cultures, nous est révélée par les strates architecturales de notre patrimoine urbain.

Sa Grande Ile classée au Patrimoine mondial de l’UNESCO, son quartier allemand symbolisant son destin particulier mais aussi ses avancées en matière sociale, son quartier européen incarnant sa capacité à surmonter les divisions et à promouvoir la réconciliation dans une Europe pacifiée, en font une ville qui mérite que l’on se dévoue pour elle. Telle est mon intime conviction d’élu auquel les citoyens ont confié la gestion de la septième plus grande ville de France et telle est la vision que j’en ai.

Cependant, Strasbourg est multiple; elle est la somme des regards et des histoires particulières de celles et ceux qui l’ont traversée ou qui la vivent au quotidien. Le photographe Frantisek Zvardon nous offre ici sa propre vision, celle de l’instant particulier que constitue l’image, entre espace et temps, entre l’urgence de la capture dans le mouvement du vol et la profondeur de la ville qui semble comme transpercée.

En survolant ainsi la ville, il bouscule nos schémas habituels et nous fait abandonner la perspective qui nous fait voir notre environnement quotidien à hauteur d’homme. Il nous dote des ailes de l’oiseau filant au-dessus des toits qui saisit en une suite de séquences, des plans obliques. Il nous pourvoit de l’œil de l’urbaniste ou du cartographe, qui surplombe la ville et en maîtrise les contours et les percées : maisons ou toits en grappe, saillie des cours d’eau, alignement des ponts, enchaînements de ruelles et de placettes, dessins des jardins à la française, bâtiments modernes en dominos ou en cylindres superposés…

Il parvient à nous restituer la tonalité de notre enracinement dans cette terre, en faisant de la densité du grès rose la chair même de son œuvre photographiée, nous reliant ainsi à travers le temps à ceux qui, en l’an 1015, posèrent la première pierre pour l’édification de notre majestueuse cathédrale.

Ainsi, les hommes qui apparaissent ici ou là dans cet ensemble de clichés sont en vérité l’âme même de la ville, car leur création, leur habitat, leurs réalisations, pétrissent ces images de présence humaine, chaleureuse et dense, dans une sorte d’arrière-plan virtuel.

Je tiens à rendre hommage ici au récit que nous fait Frantisek Zvardon au travers de ses images, car il nous raconte la ville comme témoin privilégié de la vie.

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Son histoire, marquée par une confluence de cultures, nous est révélée par les strates architecturales de notre patrimoine urbain.

Sa Grande Ile classée au Patrimoine mondial de l’UNESCO, son quartier allemand symbolisant son destin particulier mais aussi ses avancées en matière sociale, son quartier européen incarnant sa capacité à surmonter les divisions et à promouvoir la réconciliation dans une Europe pacifiée, en font une ville qui mérite que l’on se dévoue pour elle. Telle est mon intime conviction d’élu auquel les citoyens ont confié la gestion de la septième plus grande ville de France et telle est la vision que j’en ai.

Cependant, Strasbourg est multiple; elle est la somme des regards et des histoires particulières de celles et ceux qui l’ont traversée ou qui la vivent au quotidien. Le photographe Frantisek Zvardon nous offre ici sa propre vision, celle de l’instant particulier que constitue l’image, entre espace et temps, entre l’urgence de la capture dans le mouvement du vol et la profondeur de la ville qui semble comme transpercée.

En survolant ainsi la ville, il bouscule nos schémas habituels et nous fait abandonner la perspective qui nous fait voir notre environnement quotidien à hauteur d’homme. Il nous dote des ailes de l’oiseau filant au-dessus des toits qui saisit en une suite de séquences, des plans obliques. Il nous pourvoit de l’œil de l’urbaniste ou du cartographe, qui surplombe la ville et en maîtrise les contours et les percées : maisons ou toits en grappe, saillie des cours d’eau, alignement des ponts, enchaînements de ruelles et de placettes, dessins des jardins à la française, bâtiments modernes en dominos ou en cylindres superposés…

Il parvient à nous restituer la tonalité de notre enracinement dans cette terre, en faisant de la densité du grès rose la chair même de son œuvre photographiée, nous reliant ainsi à travers le temps à ceux qui, en l’an 1015, posèrent la première pierre pour l’édification de notre majestueuse cathédrale.

Ainsi, les hommes qui apparaissent ici ou là dans cet ensemble de clichés sont en vérité l’âme même de la ville, car leur création, leur habitat, leurs réalisations, pétrissent ces images de présence humaine, chaleureuse et dense, dans une sorte d’arrière-plan virtuel.

Je tiens à rendre hommage ici au récit que nous fait Frantisek Zvardon au travers de ses images, car il nous raconte la ville comme témoin privilégié de la vie.

Roland Ries

Sénateur-Maire de Strasbourg

 

Livre édité en 2005 par les Éditions Carré Blanc, à 25 000 exemplaires, format 27 x 33 cm

 

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STRASBOURG 2009 

 

Son histoire, marquée par une confluence de cultures, nous est révélée par les strates architecturales de notre patrimoine urbain.

Sa Grande Ile classée au Patrimoine mondial de l’UNESCO, son quartier allemand symbolisant son destin particulier mais aussi ses avancées en matière sociale, son quartier européen incarnant sa capacité à surmonter les divisions et à promouvoir la réconciliation dans une Europe pacifiée, en font une ville qui mérite que l’on se dévoue pour elle. Telle est mon intime conviction d’élu auquel les citoyens ont confié la gestion de la septième plus grande ville de France et telle est la vision que j’en ai.

Cependant, Strasbourg est multiple; elle est la somme des regards et des histoires particulières de celles et ceux qui l’ont traversée ou qui la vivent au quotidien. Le photographe Frantisek Zvardon nous offre ici sa propre vision, celle de l’instant particulier que constitue l’image, entre espace et temps, entre l’urgence de la capture dans le mouvement du vol et la profondeur de la ville qui semble comme transpercée.

En survolant ainsi la ville, il bouscule nos schémas habituels et nous fait abandonner la perspective qui nous fait voir notre environnement quotidien à hauteur d’homme. Il nous dote des ailes de l’oiseau filant au-dessus des toits qui saisit en une suite de séquences, des plans obliques. Il nous pourvoit de l’œil de l’urbaniste ou du cartographe, qui surplombe la ville et en maîtrise les contours et les percées : maisons ou toits en grappe, saillie des cours d’eau, alignement des ponts, enchaînements de ruelles et de placettes, dessins des jardins à la française, bâtiments modernes en dominos ou en cylindres superposés…

Il parvient à nous restituer la tonalité de notre enracinement dans cette terre, en faisant de la densité du grès rose la chair même de son œuvre photographiée, nous reliant ainsi à travers le temps à ceux qui, en l’an 1015, posèrent la première pierre pour l’édification de notre majestueuse cathédrale.

Ainsi, les hommes qui apparaissent ici ou là dans cet ensemble de clichés sont en vérité l’âme même de la ville, car leur création, leur habitat, leurs réalisations, pétrissent ces images de présence humaine, chaleureuse et dense, dans une sorte d’arrière-plan virtuel.

Je tiens à rendre hommage ici au récit que nous fait Frantisek Zvardon au travers de ses images, car il nous raconte la ville comme témoin privilégié de la vie.

Roland Ries

Sénateur-Maire de Strasbourg

 

Livre édité en 2005 par les Éditions Carré Blanc, à 25 000 exemplaires, format 27 x 33 cm

 

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STRASBOURG 2009 

 

Son histoire, marquée par une confluence de cultures, nous est révélée par les strates architecturales de notre patrimoine urbain.

Sa Grande Ile classée au Patrimoine mondial de l’UNESCO, son quartier allemand symbolisant son destin particulier mais aussi ses avancées en matière sociale, son quartier européen incarnant sa capacité à surmonter les divisions et à promouvoir la réconciliation dans une Europe pacifiée, en font une ville qui mérite que l’on se dévoue pour elle. Telle est mon intime conviction d’élu auquel les citoyens ont confié la gestion de la septième plus grande ville de France et telle est la vision que j’en ai.

Cependant, Strasbourg est multiple; elle est la somme des regards et des histoires particulières de celles et ceux qui l’ont traversée ou qui la vivent au quotidien. Le photographe Frantisek Zvardon nous offre ici sa propre vision, celle de l’instant particulier que constitue l’image, entre espace et temps, entre l’urgence de la capture dans le mouvement du vol et la profondeur de la ville qui semble comme transpercée.

En survolant ainsi la ville, il bouscule nos schémas habituels et nous fait abandonner la perspective qui nous fait voir notre environnement quotidien à hauteur d’homme. Il nous dote des ailes de l’oiseau filant au-dessus des toits qui saisit en une suite de séquences, des plans obliques. Il nous pourvoit de l’œil de l’urbaniste ou du cartographe, qui surplombe la ville et en maîtrise les contours et les percées : maisons ou toits en grappe, saillie des cours d’eau, alignement des ponts, enchaînements de ruelles et de placettes, dessins des jardins à la française, bâtiments modernes en dominos ou en cylindres superposés…

Il parvient à nous restituer la tonalité de notre enracinement dans cette terre, en faisant de la densité du grès rose la chair même de son œuvre photographiée, nous reliant ainsi à travers le temps à ceux qui, en l’an 1015, posèrent la première pierre pour l’édification de notre majestueuse cathédrale.

Ainsi, les hommes qui apparaissent ici ou là dans cet ensemble de clichés sont en vérité l’âme même de la ville, car leur création, leur habitat, leurs réalisations, pétrissent ces images de présence humaine, chaleureuse et dense, dans une sorte d’arrière-plan virtuel.

Je tiens à rendre hommage ici au récit que nous fait Frantisek Zvardon au travers de ses images, car il nous raconte la ville comme témoin privilégié de la vie.

Roland Ries

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STRASBOURG 2009 

 

Son histoire, marquée par une confluence de cultures, nous est révélée par les strates architecturales de notre patrimoine urbain.

Sa Grande Ile classée au Patrimoine mondial de l’UNESCO, son quartier allemand symbolisant son destin particulier mais aussi ses avancées en matière sociale, son quartier européen incarnant sa capacité à surmonter les divisions et à promouvoir la réconciliation dans une Europe pacifiée, en font une ville qui mérite que l’on se dévoue pour elle. Telle est mon intime conviction d’élu auquel les citoyens ont confié la gestion de la septième plus grande ville de France et telle est la vision que j’en ai.

Cependant, Strasbourg est multiple; elle est la somme des regards et des histoires particulières de celles et ceux qui l’ont traversée ou qui la vivent au quotidien. Le photographe Frantisek Zvardon nous offre ici sa propre vision, celle de l’instant particulier que constitue l’image, entre espace et temps, entre l’urgence de la capture dans le mouvement du vol et la profondeur de la ville qui semble comme transpercée.

En survolant ainsi la ville, il bouscule nos schémas habituels et nous fait abandonner la perspective qui nous fait voir notre environnement quotidien à hauteur d’homme. Il nous dote des ailes de l’oiseau filant au-dessus des toits qui saisit en une suite de séquences, des plans obliques. Il nous pourvoit de l’œil de l’urbaniste ou du cartographe, qui surplombe la ville et en maîtrise les contours et les percées : maisons ou toits en grappe, saillie des cours d’eau, alignement des ponts, enchaînements de ruelles et de placettes, dessins des jardins à la française, bâtiments modernes en dominos ou en cylindres superposés…

Il parvient à nous restituer la tonalité de notre enracinement dans cette terre, en faisant de la densité du grès rose la chair même de son œuvre photographiée, nous reliant ainsi à travers le temps à ceux qui, en l’an 1015, posèrent la première pierre pour l’édification de notre majestueuse cathédrale.

Ainsi, les hommes qui apparaissent ici ou là dans cet ensemble de clichés sont en vérité l’âme même de la ville, car leur création, leur habitat, leurs réalisations, pétrissent ces images de présence humaine, chaleureuse et dense, dans une sorte d’arrière-plan virtuel.

Je tiens à rendre hommage ici au récit que nous fait Frantisek Zvardon au travers de ses images, car il nous raconte la ville comme témoin privilégié de la vie.

Roland Ries

Sénateur-Maire de Strasbourg

 

Livre édité en 2005 par les Éditions Carré Blanc, à 25 000 exemplaires, format 27 x 33 cm

 

http-//www.carreblanc.fr/edition/villes-vues-du-ciel/collection/strasbourg

STRASBOURG 2009 

 

Son histoire, marquée par une confluence de cultures, nous est révélée par les strates architecturales de notre patrimoine urbain.

Sa Grande Ile classée au Patrimoine mondial de l’UNESCO, son quartier allemand symbolisant son destin particulier mais aussi ses avancées en matière sociale, son quartier européen incarnant sa capacité à surmonter les divisions et à promouvoir la réconciliation dans une Europe pacifiée, en font une ville qui mérite que l’on se dévoue pour elle. Telle est mon intime conviction d’élu auquel les citoyens ont confié la gestion de la septième plus grande ville de France et telle est la vision que j’en ai.

Cependant, Strasbourg est multiple; elle est la somme des regards et des histoires particulières de celles et ceux qui l’ont traversée ou qui la vivent au quotidien. Le photographe Frantisek Zvardon nous offre ici sa propre vision, celle de l’instant particulier que constitue l’image, entre espace et temps, entre l’urgence de la capture dans le mouvement du vol et la profondeur de la ville qui semble comme transpercée.

En survolant ainsi la ville, il bouscule nos schémas habituels et nous fait abandonner la perspective qui nous fait voir notre environnement quotidien à hauteur d’homme. Il nous dote des ailes de l’oiseau filant au-dessus des toits qui saisit en une suite de séquences, des plans obliques. Il nous pourvoit de l’œil de l’urbaniste ou du cartographe, qui surplombe la ville et en maîtrise les contours et les percées : maisons ou toits en grappe, saillie des cours d’eau, alignement des ponts, enchaînements de ruelles et de placettes, dessins des jardins à la française, bâtiments modernes en dominos ou en cylindres superposés…

Il parvient à nous restituer la tonalité de notre enracinement dans cette terre, en faisant de la densité du grès rose la chair même de son œuvre photographiée, nous reliant ainsi à travers le temps à ceux qui, en l’an 1015, posèrent la première pierre pour l’édification de notre majestueuse cathédrale.

Ainsi, les hommes qui apparaissent ici ou là dans cet ensemble de clichés sont en vérité l’âme même de la ville, car leur création, leur habitat, leurs réalisations, pétrissent ces images de présence humaine, chaleureuse et dense, dans une sorte d’arrière-plan virtuel.

Je tiens à rendre hommage ici au récit que nous fait Frantisek Zvardon au travers de ses images, car il nous raconte la ville comme témoin privilégié de la vie.

Roland Ries

Sénateur-Maire de Strasbourg

 

Livre édité en 2005 par les Éditions Carré Blanc, à 25 000 exemplaires, format 27 x 33 cm

 

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STRASBOURG 2009 

 

Son histoire, marquée par une confluence de cultures, nous est révélée par les strates architecturales de notre patrimoine urbain.

Sa Grande Ile classée au Patrimoine mondial de l’UNESCO, son quartier allemand symbolisant son destin particulier mais aussi ses avancées en matière sociale, son quartier européen incarnant sa capacité à surmonter les divisions et à promouvoir la réconciliation dans une Europe pacifiée, en font une ville qui mérite que l’on se dévoue pour elle. Telle est mon intime conviction d’élu auquel les citoyens ont confié la gestion de la septième plus grande ville de France et telle est la vision que j’en ai.

Cependant, Strasbourg est multiple; elle est la somme des regards et des histoires particulières de celles et ceux qui l’ont traversée ou qui la vivent au quotidien. Le photographe Frantisek Zvardon nous offre ici sa propre vision, celle de l’instant particulier que constitue l’image, entre espace et temps, entre l’urgence de la capture dans le mouvement du vol et la profondeur de la ville qui semble comme transpercée.

En survolant ainsi la ville, il bouscule nos schémas habituels et nous fait abandonner la perspective qui nous fait voir notre environnement quotidien à hauteur d’homme. Il nous dote des ailes de l’oiseau filant au-dessus des toits qui saisit en une suite de séquences, des plans obliques. Il nous pourvoit de l’œil de l’urbaniste ou du cartographe, qui surplombe la ville et en maîtrise les contours et les percées : maisons ou toits en grappe, saillie des cours d’eau, alignement des ponts, enchaînements de ruelles et de placettes, dessins des jardins à la française, bâtiments modernes en dominos ou en cylindres superposés…

Il parvient à nous restituer la tonalité de notre enracinement dans cette terre, en faisant de la densité du grès rose la chair même de son œuvre photographiée, nous reliant ainsi à travers le temps à ceux qui, en l’an 1015, posèrent la première pierre pour l’édification de notre majestueuse cathédrale.

Ainsi, les hommes qui apparaissent ici ou là dans cet ensemble de clichés sont en vérité l’âme même de la ville, car leur création, leur habitat, leurs réalisations, pétrissent ces images de présence humaine, chaleureuse et dense, dans une sorte d’arrière-plan virtuel.

Je tiens à rendre hommage ici au récit que nous fait Frantisek Zvardon au travers de ses images, car il nous raconte la ville comme témoin privilégié de la vie.

Roland Ries

Sénateur-Maire de Strasbourg

 

Livre édité en 2005 par les Éditions Carré Blanc, à 25 000 exemplaires, format 27 x 33 cm

 

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Son histoire, marquée par une confluence de cultures, nous est révélée par les strates architecturales de notre patrimoine urbain.

Sa Grande Ile classée au Patrimoine mondial de l’UNESCO, son quartier allemand symbolisant son destin particulier mais aussi ses avancées en matière sociale, son quartier européen incarnant sa capacité à surmonter les divisions et à promouvoir la réconciliation dans une Europe pacifiée, en font une ville qui mérite que l’on se dévoue pour elle. Telle est mon intime conviction d’élu auquel les citoyens ont confié la gestion de la septième plus grande ville de France et telle est la vision que j’en ai.

Cependant, Strasbourg est multiple; elle est la somme des regards et des histoires particulières de celles et ceux qui l’ont traversée ou qui la vivent au quotidien. Le photographe Frantisek Zvardon nous offre ici sa propre vision, celle de l’instant particulier que constitue l’image, entre espace et temps, entre l’urgence de la capture dans le mouvement du vol et la profondeur de la ville qui semble comme transpercée.

En survolant ainsi la ville, il bouscule nos schémas habituels et nous fait abandonner la perspective qui nous fait voir notre environnement quotidien à hauteur d’homme. Il nous dote des ailes de l’oiseau filant au-dessus des toits qui saisit en une suite de séquences, des plans obliques. Il nous pourvoit de l’œil de l’urbaniste ou du cartographe, qui surplombe la ville et en maîtrise les contours et les percées : maisons ou toits en grappe, saillie des cours d’eau, alignement des ponts, enchaînements de ruelles et de placettes, dessins des jardins à la française, bâtiments modernes en dominos ou en cylindres superposés…

Il parvient à nous restituer la tonalité de notre enracinement dans cette terre, en faisant de la densité du grès rose la chair même de son œuvre photographiée, nous reliant ainsi à travers le temps à ceux qui, en l’an 1015, posèrent la première pierre pour l’édification de notre majestueuse cathédrale.

Ainsi, les hommes qui apparaissent ici ou là dans cet ensemble de clichés sont en vérité l’âme même de la ville, car leur création, leur habitat, leurs réalisations, pétrissent ces images de présence humaine, chaleureuse et dense, dans une sorte d’arrière-plan virtuel.

Je tiens à rendre hommage ici au récit que nous fait Frantisek Zvardon au travers de ses images, car il nous raconte la ville comme témoin privilégié de la vie.

Roland Ries

Sénateur-Maire de Strasbourg

 

Livre édité en 2005 par les Éditions Carré Blanc, à 25 000 exemplaires, format 27 x 33 cm

 

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Son histoire, marquée par une confluence de cultures, nous est révélée par les strates architecturales de notre patrimoine urbain.

Sa Grande Ile classée au Patrimoine mondial de l’UNESCO, son quartier allemand symbolisant son destin particulier mais aussi ses avancées en matière sociale, son quartier européen incarnant sa capacité à surmonter les divisions et à promouvoir la réconciliation dans une Europe pacifiée, en font une ville qui mérite que l’on se dévoue pour elle. Telle est mon intime conviction d’élu auquel les citoyens ont confié la gestion de la septième plus grande ville de France et telle est la vision que j’en ai.

Cependant, Strasbourg est multiple; elle est la somme des regards et des histoires particulières de celles et ceux qui l’ont traversée ou qui la vivent au quotidien. Le photographe Frantisek Zvardon nous offre ici sa propre vision, celle de l’instant particulier que constitue l’image, entre espace et temps, entre l’urgence de la capture dans le mouvement du vol et la profondeur de la ville qui semble comme transpercée.

En survolant ainsi la ville, il bouscule nos schémas habituels et nous fait abandonner la perspective qui nous fait voir notre environnement quotidien à hauteur d’homme. Il nous dote des ailes de l’oiseau filant au-dessus des toits qui saisit en une suite de séquences, des plans obliques. Il nous pourvoit de l’œil de l’urbaniste ou du cartographe, qui surplombe la ville et en maîtrise les contours et les percées : maisons ou toits en grappe, saillie des cours d’eau, alignement des ponts, enchaînements de ruelles et de placettes, dessins des jardins à la française, bâtiments modernes en dominos ou en cylindres superposés…

Il parvient à nous restituer la tonalité de notre enracinement dans cette terre, en faisant de la densité du grès rose la chair même de son œuvre photographiée, nous reliant ainsi à travers le temps à ceux qui, en l’an 1015, posèrent la première pierre pour l’édification de notre majestueuse cathédrale.

Ainsi, les hommes qui apparaissent ici ou là dans cet ensemble de clichés sont en vérité l’âme même de la ville, car leur création, leur habitat, leurs réalisations, pétrissent ces images de présence humaine, chaleureuse et dense, dans une sorte d’arrière-plan virtuel.

Je tiens à rendre hommage ici au récit que nous fait Frantisek Zvardon au travers de ses images, car il nous raconte la ville comme témoin privilégié de la vie.

Roland Ries

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Son histoire, marquée par une confluence de cultures, nous est révélée par les strates architecturales de notre patrimoine urbain.

Sa Grande Ile classée au Patrimoine mondial de l’UNESCO, son quartier allemand symbolisant son destin particulier mais aussi ses avancées en matière sociale, son quartier européen incarnant sa capacité à surmonter les divisions et à promouvoir la réconciliation dans une Europe pacifiée, en font une ville qui mérite que l’on se dévoue pour elle. Telle est mon intime conviction d’élu auquel les citoyens ont confié la gestion de la septième plus grande ville de France et telle est la vision que j’en ai.

Cependant, Strasbourg est multiple; elle est la somme des regards et des histoires particulières de celles et ceux qui l’ont traversée ou qui la vivent au quotidien. Le photographe Frantisek Zvardon nous offre ici sa propre vision, celle de l’instant particulier que constitue l’image, entre espace et temps, entre l’urgence de la capture dans le mouvement du vol et la profondeur de la ville qui semble comme transpercée.

En survolant ainsi la ville, il bouscule nos schémas habituels et nous fait abandonner la perspective qui nous fait voir notre environnement quotidien à hauteur d’homme. Il nous dote des ailes de l’oiseau filant au-dessus des toits qui saisit en une suite de séquences, des plans obliques. Il nous pourvoit de l’œil de l’urbaniste ou du cartographe, qui surplombe la ville et en maîtrise les contours et les percées : maisons ou toits en grappe, saillie des cours d’eau, alignement des ponts, enchaînements de ruelles et de placettes, dessins des jardins à la française, bâtiments modernes en dominos ou en cylindres superposés…

Il parvient à nous restituer la tonalité de notre enracinement dans cette terre, en faisant de la densité du grès rose la chair même de son œuvre photographiée, nous reliant ainsi à travers le temps à ceux qui, en l’an 1015, posèrent la première pierre pour l’édification de notre majestueuse cathédrale.

Ainsi, les hommes qui apparaissent ici ou là dans cet ensemble de clichés sont en vérité l’âme même de la ville, car leur création, leur habitat, leurs réalisations, pétrissent ces images de présence humaine, chaleureuse et dense, dans une sorte d’arrière-plan virtuel.

Je tiens à rendre hommage ici au récit que nous fait Frantisek Zvardon au travers de ses images, car il nous raconte la ville comme témoin privilégié de la vie.

Roland Ries

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Livre édité en 2005 par les Éditions Carré Blanc, à 25 000 exemplaires, format 27 x 33 cm

 

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Son histoire, marquée par une confluence de cultures, nous est révélée par les strates architecturales de notre patrimoine urbain.

Sa Grande Ile classée au Patrimoine mondial de l’UNESCO, son quartier allemand symbolisant son destin particulier mais aussi ses avancées en matière sociale, son quartier européen incarnant sa capacité à surmonter les divisions et à promouvoir la réconciliation dans une Europe pacifiée, en font une ville qui mérite que l’on se dévoue pour elle. Telle est mon intime conviction d’élu auquel les citoyens ont confié la gestion de la septième plus grande ville de France et telle est la vision que j’en ai.

Cependant, Strasbourg est multiple; elle est la somme des regards et des histoires particulières de celles et ceux qui l’ont traversée ou qui la vivent au quotidien. Le photographe Frantisek Zvardon nous offre ici sa propre vision, celle de l’instant particulier que constitue l’image, entre espace et temps, entre l’urgence de la capture dans le mouvement du vol et la profondeur de la ville qui semble comme transpercée.

En survolant ainsi la ville, il bouscule nos schémas habituels et nous fait abandonner la perspective qui nous fait voir notre environnement quotidien à hauteur d’homme. Il nous dote des ailes de l’oiseau filant au-dessus des toits qui saisit en une suite de séquences, des plans obliques. Il nous pourvoit de l’œil de l’urbaniste ou du cartographe, qui surplombe la ville et en maîtrise les contours et les percées : maisons ou toits en grappe, saillie des cours d’eau, alignement des ponts, enchaînements de ruelles et de placettes, dessins des jardins à la française, bâtiments modernes en dominos ou en cylindres superposés…

Il parvient à nous restituer la tonalité de notre enracinement dans cette terre, en faisant de la densité du grès rose la chair même de son œuvre photographiée, nous reliant ainsi à travers le temps à ceux qui, en l’an 1015, posèrent la première pierre pour l’édification de notre majestueuse cathédrale.

Ainsi, les hommes qui apparaissent ici ou là dans cet ensemble de clichés sont en vérité l’âme même de la ville, car leur création, leur habitat, leurs réalisations, pétrissent ces images de présence humaine, chaleureuse et dense, dans une sorte d’arrière-plan virtuel.

Je tiens à rendre hommage ici au récit que nous fait Frantisek Zvardon au travers de ses images, car il nous raconte la ville comme témoin privilégié de la vie.

Roland Ries

Sénateur-Maire de Strasbourg

 

Livre édité en 2005 par les Éditions Carré Blanc, à 25 000 exemplaires, format 27 x 33 cm

 

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Son histoire, marquée par une confluence de cultures, nous est révélée par les strates architecturales de notre patrimoine urbain.

Sa Grande Ile classée au Patrimoine mondial de l’UNESCO, son quartier allemand symbolisant son destin particulier mais aussi ses avancées en matière sociale, son quartier européen incarnant sa capacité à surmonter les divisions et à promouvoir la réconciliation dans une Europe pacifiée, en font une ville qui mérite que l’on se dévoue pour elle. Telle est mon intime conviction d’élu auquel les citoyens ont confié la gestion de la septième plus grande ville de France et telle est la vision que j’en ai.

Cependant, Strasbourg est multiple; elle est la somme des regards et des histoires particulières de celles et ceux qui l’ont traversée ou qui la vivent au quotidien. Le photographe Frantisek Zvardon nous offre ici sa propre vision, celle de l’instant particulier que constitue l’image, entre espace et temps, entre l’urgence de la capture dans le mouvement du vol et la profondeur de la ville qui semble comme transpercée.

En survolant ainsi la ville, il bouscule nos schémas habituels et nous fait abandonner la perspective qui nous fait voir notre environnement quotidien à hauteur d’homme. Il nous dote des ailes de l’oiseau filant au-dessus des toits qui saisit en une suite de séquences, des plans obliques. Il nous pourvoit de l’œil de l’urbaniste ou du cartographe, qui surplombe la ville et en maîtrise les contours et les percées : maisons ou toits en grappe, saillie des cours d’eau, alignement des ponts, enchaînements de ruelles et de placettes, dessins des jardins à la française, bâtiments modernes en dominos ou en cylindres superposés…

Il parvient à nous restituer la tonalité de notre enracinement dans cette terre, en faisant de la densité du grès rose la chair même de son œuvre photographiée, nous reliant ainsi à travers le temps à ceux qui, en l’an 1015, posèrent la première pierre pour l’édification de notre majestueuse cathédrale.

Ainsi, les hommes qui apparaissent ici ou là dans cet ensemble de clichés sont en vérité l’âme même de la ville, car leur création, leur habitat, leurs réalisations, pétrissent ces images de présence humaine, chaleureuse et dense, dans une sorte d’arrière-plan virtuel.

Je tiens à rendre hommage ici au récit que nous fait Frantisek Zvardon au travers de ses images, car il nous raconte la ville comme témoin privilégié de la vie.

Roland Ries

Sénateur-Maire de Strasbourg

 

Livre édité en 2005 par les Éditions Carré Blanc, à 25 000 exemplaires, format 27 x 33 cm

 

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Son histoire, marquée par une confluence de cultures, nous est révélée par les strates architecturales de notre patrimoine urbain.

Sa Grande Ile classée au Patrimoine mondial de l’UNESCO, son quartier allemand symbolisant son destin particulier mais aussi ses avancées en matière sociale, son quartier européen incarnant sa capacité à surmonter les divisions et à promouvoir la réconciliation dans une Europe pacifiée, en font une ville qui mérite que l’on se dévoue pour elle. Telle est mon intime conviction d’élu auquel les citoyens ont confié la gestion de la septième plus grande ville de France et telle est la vision que j’en ai.

Cependant, Strasbourg est multiple; elle est la somme des regards et des histoires particulières de celles et ceux qui l’ont traversée ou qui la vivent au quotidien. Le photographe Frantisek Zvardon nous offre ici sa propre vision, celle de l’instant particulier que constitue l’image, entre espace et temps, entre l’urgence de la capture dans le mouvement du vol et la profondeur de la ville qui semble comme transpercée.

En survolant ainsi la ville, il bouscule nos schémas habituels et nous fait abandonner la perspective qui nous fait voir notre environnement quotidien à hauteur d’homme. Il nous dote des ailes de l’oiseau filant au-dessus des toits qui saisit en une suite de séquences, des plans obliques. Il nous pourvoit de l’œil de l’urbaniste ou du cartographe, qui surplombe la ville et en maîtrise les contours et les percées : maisons ou toits en grappe, saillie des cours d’eau, alignement des ponts, enchaînements de ruelles et de placettes, dessins des jardins à la française, bâtiments modernes en dominos ou en cylindres superposés…

Il parvient à nous restituer la tonalité de notre enracinement dans cette terre, en faisant de la densité du grès rose la chair même de son œuvre photographiée, nous reliant ainsi à travers le temps à ceux qui, en l’an 1015, posèrent la première pierre pour l’édification de notre majestueuse cathédrale.

Ainsi, les hommes qui apparaissent ici ou là dans cet ensemble de clichés sont en vérité l’âme même de la ville, car leur création, leur habitat, leurs réalisations, pétrissent ces images de présence humaine, chaleureuse et dense, dans une sorte d’arrière-plan virtuel.

Je tiens à rendre hommage ici au récit que nous fait Frantisek Zvardon au travers de ses images, car il nous raconte la ville comme témoin privilégié de la vie.

Roland Ries

Sénateur-Maire de Strasbourg

 

Livre édité en 2005 par les Éditions Carré Blanc, à 25 000 exemplaires, format 27 x 33 cm

 

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Son histoire, marquée par une confluence de cultures, nous est révélée par les strates architecturales de notre patrimoine urbain.

Sa Grande Ile classée au Patrimoine mondial de l’UNESCO, son quartier allemand symbolisant son destin particulier mais aussi ses avancées en matière sociale, son quartier européen incarnant sa capacité à surmonter les divisions et à promouvoir la réconciliation dans une Europe pacifiée, en font une ville qui mérite que l’on se dévoue pour elle. Telle est mon intime conviction d’élu auquel les citoyens ont confié la gestion de la septième plus grande ville de France et telle est la vision que j’en ai.

Cependant, Strasbourg est multiple; elle est la somme des regards et des histoires particulières de celles et ceux qui l’ont traversée ou qui la vivent au quotidien. Le photographe Frantisek Zvardon nous offre ici sa propre vision, celle de l’instant particulier que constitue l’image, entre espace et temps, entre l’urgence de la capture dans le mouvement du vol et la profondeur de la ville qui semble comme transpercée.

En survolant ainsi la ville, il bouscule nos schémas habituels et nous fait abandonner la perspective qui nous fait voir notre environnement quotidien à hauteur d’homme. Il nous dote des ailes de l’oiseau filant au-dessus des toits qui saisit en une suite de séquences, des plans obliques. Il nous pourvoit de l’œil de l’urbaniste ou du cartographe, qui surplombe la ville et en maîtrise les contours et les percées : maisons ou toits en grappe, saillie des cours d’eau, alignement des ponts, enchaînements de ruelles et de placettes, dessins des jardins à la française, bâtiments modernes en dominos ou en cylindres superposés…

Il parvient à nous restituer la tonalité de notre enracinement dans cette terre, en faisant de la densité du grès rose la chair même de son œuvre photographiée, nous reliant ainsi à travers le temps à ceux qui, en l’an 1015, posèrent la première pierre pour l’édification de notre majestueuse cathédrale.

Ainsi, les hommes qui apparaissent ici ou là dans cet ensemble de clichés sont en vérité l’âme même de la ville, car leur création, leur habitat, leurs réalisations, pétrissent ces images de présence humaine, chaleureuse et dense, dans une sorte d’arrière-plan virtuel.

Je tiens à rendre hommage ici au récit que nous fait Frantisek Zvardon au travers de ses images, car il nous raconte la ville comme témoin privilégié de la vie.

Roland Ries

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Son histoire, marquée par une confluence de cultures, nous est révélée par les strates architecturales de notre patrimoine urbain.

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Cependant, Strasbourg est multiple; elle est la somme des regards et des histoires particulières de celles et ceux qui l’ont traversée ou qui la vivent au quotidien. Le photographe Frantisek Zvardon nous offre ici sa propre vision, celle de l’instant particulier que constitue l’image, entre espace et temps, entre l’urgence de la capture dans le mouvement du vol et la profondeur de la ville qui semble comme transpercée.

En survolant ainsi la ville, il bouscule nos schémas habituels et nous fait abandonner la perspective qui nous fait voir notre environnement quotidien à hauteur d’homme. Il nous dote des ailes de l’oiseau filant au-dessus des toits qui saisit en une suite de séquences, des plans obliques. Il nous pourvoit de l’œil de l’urbaniste ou du cartographe, qui surplombe la ville et en maîtrise les contours et les percées : maisons ou toits en grappe, saillie des cours d’eau, alignement des ponts, enchaînements de ruelles et de placettes, dessins des jardins à la française, bâtiments modernes en dominos ou en cylindres superposés…

Il parvient à nous restituer la tonalité de notre enracinement dans cette terre, en faisant de la densité du grès rose la chair même de son œuvre photographiée, nous reliant ainsi à travers le temps à ceux qui, en l’an 1015, posèrent la première pierre pour l’édification de notre majestueuse cathédrale.

Ainsi, les hommes qui apparaissent ici ou là dans cet ensemble de clichés sont en vérité l’âme même de la ville, car leur création, leur habitat, leurs réalisations, pétrissent ces images de présence humaine, chaleureuse et dense, dans une sorte d’arrière-plan virtuel.

Je tiens à rendre hommage ici au récit que nous fait Frantisek Zvardon au travers de ses images, car il nous raconte la ville comme témoin privilégié de la vie.

Roland Ries

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Livre édité en 2005 par les Éditions Carré Blanc, à 25 000 exemplaires, format 27 x 33 cm

 

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Son histoire, marquée par une confluence de cultures, nous est révélée par les strates architecturales de notre patrimoine urbain.

Sa Grande Ile classée au Patrimoine mondial de l’UNESCO, son quartier allemand symbolisant son destin particulier mais aussi ses avancées en matière sociale, son quartier européen incarnant sa capacité à surmonter les divisions et à promouvoir la réconciliation dans une Europe pacifiée, en font une ville qui mérite que l’on se dévoue pour elle. Telle est mon intime conviction d’élu auquel les citoyens ont confié la gestion de la septième plus grande ville de France et telle est la vision que j’en ai.

Cependant, Strasbourg est multiple; elle est la somme des regards et des histoires particulières de celles et ceux qui l’ont traversée ou qui la vivent au quotidien. Le photographe Frantisek Zvardon nous offre ici sa propre vision, celle de l’instant particulier que constitue l’image, entre espace et temps, entre l’urgence de la capture dans le mouvement du vol et la profondeur de la ville qui semble comme transpercée.

En survolant ainsi la ville, il bouscule nos schémas habituels et nous fait abandonner la perspective qui nous fait voir notre environnement quotidien à hauteur d’homme. Il nous dote des ailes de l’oiseau filant au-dessus des toits qui saisit en une suite de séquences, des plans obliques. Il nous pourvoit de l’œil de l’urbaniste ou du cartographe, qui surplombe la ville et en maîtrise les contours et les percées : maisons ou toits en grappe, saillie des cours d’eau, alignement des ponts, enchaînements de ruelles et de placettes, dessins des jardins à la française, bâtiments modernes en dominos ou en cylindres superposés…

Il parvient à nous restituer la tonalité de notre enracinement dans cette terre, en faisant de la densité du grès rose la chair même de son œuvre photographiée, nous reliant ainsi à travers le temps à ceux qui, en l’an 1015, posèrent la première pierre pour l’édification de notre majestueuse cathédrale.

Ainsi, les hommes qui apparaissent ici ou là dans cet ensemble de clichés sont en vérité l’âme même de la ville, car leur création, leur habitat, leurs réalisations, pétrissent ces images de présence humaine, chaleureuse et dense, dans une sorte d’arrière-plan virtuel.

Je tiens à rendre hommage ici au récit que nous fait Frantisek Zvardon au travers de ses images, car il nous raconte la ville comme témoin privilégié de la vie.

Roland Ries

Sénateur-Maire de Strasbourg

 

Livre édité en 2005 par les Éditions Carré Blanc, à 25 000 exemplaires, format 27 x 33 cm

 

http-//www.carreblanc.fr/edition/villes-vues-du-ciel/collection/strasbourg

STRASBOURG 2009 

 

Son histoire, marquée par une confluence de cultures, nous est révélée par les strates architecturales de notre patrimoine urbain.

Sa Grande Ile classée au Patrimoine mondial de l’UNESCO, son quartier allemand symbolisant son destin particulier mais aussi ses avancées en matière sociale, son quartier européen incarnant sa capacité à surmonter les divisions et à promouvoir la réconciliation dans une Europe pacifiée, en font une ville qui mérite que l’on se dévoue pour elle. Telle est mon intime conviction d’élu auquel les citoyens ont confié la gestion de la septième plus grande ville de France et telle est la vision que j’en ai.

Cependant, Strasbourg est multiple; elle est la somme des regards et des histoires particulières de celles et ceux qui l’ont traversée ou qui la vivent au quotidien. Le photographe Frantisek Zvardon nous offre ici sa propre vision, celle de l’instant particulier que constitue l’image, entre espace et temps, entre l’urgence de la capture dans le mouvement du vol et la profondeur de la ville qui semble comme transpercée.

En survolant ainsi la ville, il bouscule nos schémas habituels et nous fait abandonner la perspective qui nous fait voir notre environnement quotidien à hauteur d’homme. Il nous dote des ailes de l’oiseau filant au-dessus des toits qui saisit en une suite de séquences, des plans obliques. Il nous pourvoit de l’œil de l’urbaniste ou du cartographe, qui surplombe la ville et en maîtrise les contours et les percées : maisons ou toits en grappe, saillie des cours d’eau, alignement des ponts, enchaînements de ruelles et de placettes, dessins des jardins à la française, bâtiments modernes en dominos ou en cylindres superposés…

Il parvient à nous restituer la tonalité de notre enracinement dans cette terre, en faisant de la densité du grès rose la chair même de son œuvre photographiée, nous reliant ainsi à travers le temps à ceux qui, en l’an 1015, posèrent la première pierre pour l’édification de notre majestueuse cathédrale.

Ainsi, les hommes qui apparaissent ici ou là dans cet ensemble de clichés sont en vérité l’âme même de la ville, car leur création, leur habitat, leurs réalisations, pétrissent ces images de présence humaine, chaleureuse et dense, dans une sorte d’arrière-plan virtuel.

Je tiens à rendre hommage ici au récit que nous fait Frantisek Zvardon au travers de ses images, car il nous raconte la ville comme témoin privilégié de la vie.

Roland Ries

Sénateur-Maire de Strasbourg

 

Livre édité en 2005 par les Éditions Carré Blanc, à 25 000 exemplaires, format 27 x 33 cm

 

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STRASBOURG 2009 

 

Son histoire, marquée par une confluence de cultures, nous est révélée par les strates architecturales de notre patrimoine urbain.

Sa Grande Ile classée au Patrimoine mondial de l’UNESCO, son quartier allemand symbolisant son destin particulier mais aussi ses avancées en matière sociale, son quartier européen incarnant sa capacité à surmonter les divisions et à promouvoir la réconciliation dans une Europe pacifiée, en font une ville qui mérite que l’on se dévoue pour elle. Telle est mon intime conviction d’élu auquel les citoyens ont confié la gestion de la septième plus grande ville de France et telle est la vision que j’en ai.

Cependant, Strasbourg est multiple; elle est la somme des regards et des histoires particulières de celles et ceux qui l’ont traversée ou qui la vivent au quotidien. Le photographe Frantisek Zvardon nous offre ici sa propre vision, celle de l’instant particulier que constitue l’image, entre espace et temps, entre l’urgence de la capture dans le mouvement du vol et la profondeur de la ville qui semble comme transpercée.

En survolant ainsi la ville, il bouscule nos schémas habituels et nous fait abandonner la perspective qui nous fait voir notre environnement quotidien à hauteur d’homme. Il nous dote des ailes de l’oiseau filant au-dessus des toits qui saisit en une suite de séquences, des plans obliques. Il nous pourvoit de l’œil de l’urbaniste ou du cartographe, qui surplombe la ville et en maîtrise les contours et les percées : maisons ou toits en grappe, saillie des cours d’eau, alignement des ponts, enchaînements de ruelles et de placettes, dessins des jardins à la française, bâtiments modernes en dominos ou en cylindres superposés…

Il parvient à nous restituer la tonalité de notre enracinement dans cette terre, en faisant de la densité du grès rose la chair même de son œuvre photographiée, nous reliant ainsi à travers le temps à ceux qui, en l’an 1015, posèrent la première pierre pour l’édification de notre majestueuse cathédrale.

Ainsi, les hommes qui apparaissent ici ou là dans cet ensemble de clichés sont en vérité l’âme même de la ville, car leur création, leur habitat, leurs réalisations, pétrissent ces images de présence humaine, chaleureuse et dense, dans une sorte d’arrière-plan virtuel.

Je tiens à rendre hommage ici au récit que nous fait Frantisek Zvardon au travers de ses images, car il nous raconte la ville comme témoin privilégié de la vie.

Roland Ries

Sénateur-Maire de Strasbourg

 

Livre édité en 2005 par les Éditions Carré Blanc, à 25 000 exemplaires, format 27 x 33 cm

 

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STRASBOURG 2009 

 

Son histoire, marquée par une confluence de cultures, nous est révélée par les strates architecturales de notre patrimoine urbain.

Sa Grande Ile classée au Patrimoine mondial de l’UNESCO, son quartier allemand symbolisant son destin particulier mais aussi ses avancées en matière sociale, son quartier européen incarnant sa capacité à surmonter les divisions et à promouvoir la réconciliation dans une Europe pacifiée, en font une ville qui mérite que l’on se dévoue pour elle. Telle est mon intime conviction d’élu auquel les citoyens ont confié la gestion de la septième plus grande ville de France et telle est la vision que j’en ai.

Cependant, Strasbourg est multiple; elle est la somme des regards et des histoires particulières de celles et ceux qui l’ont traversée ou qui la vivent au quotidien. Le photographe Frantisek Zvardon nous offre ici sa propre vision, celle de l’instant particulier que constitue l’image, entre espace et temps, entre l’urgence de la capture dans le mouvement du vol et la profondeur de la ville qui semble comme transpercée.

En survolant ainsi la ville, il bouscule nos schémas habituels et nous fait abandonner la perspective qui nous fait voir notre environnement quotidien à hauteur d’homme. Il nous dote des ailes de l’oiseau filant au-dessus des toits qui saisit en une suite de séquences, des plans obliques. Il nous pourvoit de l’œil de l’urbaniste ou du cartographe, qui surplombe la ville et en maîtrise les contours et les percées : maisons ou toits en grappe, saillie des cours d’eau, alignement des ponts, enchaînements de ruelles et de placettes, dessins des jardins à la française, bâtiments modernes en dominos ou en cylindres superposés…

Il parvient à nous restituer la tonalité de notre enracinement dans cette terre, en faisant de la densité du grès rose la chair même de son œuvre photographiée, nous reliant ainsi à travers le temps à ceux qui, en l’an 1015, posèrent la première pierre pour l’édification de notre majestueuse cathédrale.

Ainsi, les hommes qui apparaissent ici ou là dans cet ensemble de clichés sont en vérité l’âme même de la ville, car leur création, leur habitat, leurs réalisations, pétrissent ces images de présence humaine, chaleureuse et dense, dans une sorte d’arrière-plan virtuel.

Je tiens à rendre hommage ici au récit que nous fait Frantisek Zvardon au travers de ses images, car il nous raconte la ville comme témoin privilégié de la vie.

Roland Ries

Sénateur-Maire de Strasbourg

 

Livre édité en 2005 par les Éditions Carré Blanc, à 25 000 exemplaires, format 27 x 33 cm

 

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Son histoire, marquée par une confluence de cultures, nous est révélée par les strates architecturales de notre patrimoine urbain.

Sa Grande Ile classée au Patrimoine mondial de l’UNESCO, son quartier allemand symbolisant son destin particulier mais aussi ses avancées en matière sociale, son quartier européen incarnant sa capacité à surmonter les divisions et à promouvoir la réconciliation dans une Europe pacifiée, en font une ville qui mérite que l’on se dévoue pour elle. Telle est mon intime conviction d’élu auquel les citoyens ont confié la gestion de la septième plus grande ville de France et telle est la vision que j’en ai.

Cependant, Strasbourg est multiple; elle est la somme des regards et des histoires particulières de celles et ceux qui l’ont traversée ou qui la vivent au quotidien. Le photographe Frantisek Zvardon nous offre ici sa propre vision, celle de l’instant particulier que constitue l’image, entre espace et temps, entre l’urgence de la capture dans le mouvement du vol et la profondeur de la ville qui semble comme transpercée.

En survolant ainsi la ville, il bouscule nos schémas habituels et nous fait abandonner la perspective qui nous fait voir notre environnement quotidien à hauteur d’homme. Il nous dote des ailes de l’oiseau filant au-dessus des toits qui saisit en une suite de séquences, des plans obliques. Il nous pourvoit de l’œil de l’urbaniste ou du cartographe, qui surplombe la ville et en maîtrise les contours et les percées : maisons ou toits en grappe, saillie des cours d’eau, alignement des ponts, enchaînements de ruelles et de placettes, dessins des jardins à la française, bâtiments modernes en dominos ou en cylindres superposés…

Il parvient à nous restituer la tonalité de notre enracinement dans cette terre, en faisant de la densité du grès rose la chair même de son œuvre photographiée, nous reliant ainsi à travers le temps à ceux qui, en l’an 1015, posèrent la première pierre pour l’édification de notre majestueuse cathédrale.

Ainsi, les hommes qui apparaissent ici ou là dans cet ensemble de clichés sont en vérité l’âme même de la ville, car leur création, leur habitat, leurs réalisations, pétrissent ces images de présence humaine, chaleureuse et dense, dans une sorte d’arrière-plan virtuel.

Je tiens à rendre hommage ici au récit que nous fait Frantisek Zvardon au travers de ses images, car il nous raconte la ville comme témoin privilégié de la vie.

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Livre édité en 2005 par les Éditions Carré Blanc, à 25 000 exemplaires, format 27 x 33 cm

 

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Son histoire, marquée par une confluence de cultures, nous est révélée par les strates architecturales de notre patrimoine urbain.

Sa Grande Ile classée au Patrimoine mondial de l’UNESCO, son quartier allemand symbolisant son destin particulier mais aussi ses avancées en matière sociale, son quartier européen incarnant sa capacité à surmonter les divisions et à promouvoir la réconciliation dans une Europe pacifiée, en font une ville qui mérite que l’on se dévoue pour elle. Telle est mon intime conviction d’élu auquel les citoyens ont confié la gestion de la septième plus grande ville de France et telle est la vision que j’en ai.

Cependant, Strasbourg est multiple; elle est la somme des regards et des histoires particulières de celles et ceux qui l’ont traversée ou qui la vivent au quotidien. Le photographe Frantisek Zvardon nous offre ici sa propre vision, celle de l’instant particulier que constitue l’image, entre espace et temps, entre l’urgence de la capture dans le mouvement du vol et la profondeur de la ville qui semble comme transpercée.

En survolant ainsi la ville, il bouscule nos schémas habituels et nous fait abandonner la perspective qui nous fait voir notre environnement quotidien à hauteur d’homme. Il nous dote des ailes de l’oiseau filant au-dessus des toits qui saisit en une suite de séquences, des plans obliques. Il nous pourvoit de l’œil de l’urbaniste ou du cartographe, qui surplombe la ville et en maîtrise les contours et les percées : maisons ou toits en grappe, saillie des cours d’eau, alignement des ponts, enchaînements de ruelles et de placettes, dessins des jardins à la française, bâtiments modernes en dominos ou en cylindres superposés…

Il parvient à nous restituer la tonalité de notre enracinement dans cette terre, en faisant de la densité du grès rose la chair même de son œuvre photographiée, nous reliant ainsi à travers le temps à ceux qui, en l’an 1015, posèrent la première pierre pour l’édification de notre majestueuse cathédrale.

Ainsi, les hommes qui apparaissent ici ou là dans cet ensemble de clichés sont en vérité l’âme même de la ville, car leur création, leur habitat, leurs réalisations, pétrissent ces images de présence humaine, chaleureuse et dense, dans une sorte d’arrière-plan virtuel.

Je tiens à rendre hommage ici au récit que nous fait Frantisek Zvardon au travers de ses images, car il nous raconte la ville comme témoin privilégié de la vie.

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Son histoire, marquée par une confluence de cultures, nous est révélée par les strates architecturales de notre patrimoine urbain.

Sa Grande Ile classée au Patrimoine mondial de l’UNESCO, son quartier allemand symbolisant son destin particulier mais aussi ses avancées en matière sociale, son quartier européen incarnant sa capacité à surmonter les divisions et à promouvoir la réconciliation dans une Europe pacifiée, en font une ville qui mérite que l’on se dévoue pour elle. Telle est mon intime conviction d’élu auquel les citoyens ont confié la gestion de la septième plus grande ville de France et telle est la vision que j’en ai.

Cependant, Strasbourg est multiple; elle est la somme des regards et des histoires particulières de celles et ceux qui l’ont traversée ou qui la vivent au quotidien. Le photographe Frantisek Zvardon nous offre ici sa propre vision, celle de l’instant particulier que constitue l’image, entre espace et temps, entre l’urgence de la capture dans le mouvement du vol et la profondeur de la ville qui semble comme transpercée.

En survolant ainsi la ville, il bouscule nos schémas habituels et nous fait abandonner la perspective qui nous fait voir notre environnement quotidien à hauteur d’homme. Il nous dote des ailes de l’oiseau filant au-dessus des toits qui saisit en une suite de séquences, des plans obliques. Il nous pourvoit de l’œil de l’urbaniste ou du cartographe, qui surplombe la ville et en maîtrise les contours et les percées : maisons ou toits en grappe, saillie des cours d’eau, alignement des ponts, enchaînements de ruelles et de placettes, dessins des jardins à la française, bâtiments modernes en dominos ou en cylindres superposés…

Il parvient à nous restituer la tonalité de notre enracinement dans cette terre, en faisant de la densité du grès rose la chair même de son œuvre photographiée, nous reliant ainsi à travers le temps à ceux qui, en l’an 1015, posèrent la première pierre pour l’édification de notre majestueuse cathédrale.

Ainsi, les hommes qui apparaissent ici ou là dans cet ensemble de clichés sont en vérité l’âme même de la ville, car leur création, leur habitat, leurs réalisations, pétrissent ces images de présence humaine, chaleureuse et dense, dans une sorte d’arrière-plan virtuel.

Je tiens à rendre hommage ici au récit que nous fait Frantisek Zvardon au travers de ses images, car il nous raconte la ville comme témoin privilégié de la vie.

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Sa Grande Ile classée au Patrimoine mondial de l’UNESCO, son quartier allemand symbolisant son destin particulier mais aussi ses avancées en matière sociale, son quartier européen incarnant sa capacité à surmonter les divisions et à promouvoir la réconciliation dans une Europe pacifiée, en font une ville qui mérite que l’on se dévoue pour elle. Telle est mon intime conviction d’élu auquel les citoyens ont confié la gestion de la septième plus grande ville de France et telle est la vision que j’en ai.

Cependant, Strasbourg est multiple; elle est la somme des regards et des histoires particulières de celles et ceux qui l’ont traversée ou qui la vivent au quotidien. Le photographe Frantisek Zvardon nous offre ici sa propre vision, celle de l’instant particulier que constitue l’image, entre espace et temps, entre l’urgence de la capture dans le mouvement du vol et la profondeur de la ville qui semble comme transpercée.

En survolant ainsi la ville, il bouscule nos schémas habituels et nous fait abandonner la perspective qui nous fait voir notre environnement quotidien à hauteur d’homme. Il nous dote des ailes de l’oiseau filant au-dessus des toits qui saisit en une suite de séquences, des plans obliques. Il nous pourvoit de l’œil de l’urbaniste ou du cartographe, qui surplombe la ville et en maîtrise les contours et les percées : maisons ou toits en grappe, saillie des cours d’eau, alignement des ponts, enchaînements de ruelles et de placettes, dessins des jardins à la française, bâtiments modernes en dominos ou en cylindres superposés…

Il parvient à nous restituer la tonalité de notre enracinement dans cette terre, en faisant de la densité du grès rose la chair même de son œuvre photographiée, nous reliant ainsi à travers le temps à ceux qui, en l’an 1015, posèrent la première pierre pour l’édification de notre majestueuse cathédrale.

Ainsi, les hommes qui apparaissent ici ou là dans cet ensemble de clichés sont en vérité l’âme même de la ville, car leur création, leur habitat, leurs réalisations, pétrissent ces images de présence humaine, chaleureuse et dense, dans une sorte d’arrière-plan virtuel.

Je tiens à rendre hommage ici au récit que nous fait Frantisek Zvardon au travers de ses images, car il nous raconte la ville comme témoin privilégié de la vie.

Roland Ries

Sénateur-Maire de Strasbourg

 

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Son histoire, marquée par une confluence de cultures, nous est révélée par les strates architecturales de notre patrimoine urbain.

Sa Grande Ile classée au Patrimoine mondial de l’UNESCO, son quartier allemand symbolisant son destin particulier mais aussi ses avancées en matière sociale, son quartier européen incarnant sa capacité à surmonter les divisions et à promouvoir la réconciliation dans une Europe pacifiée, en font une ville qui mérite que l’on se dévoue pour elle. Telle est mon intime conviction d’élu auquel les citoyens ont confié la gestion de la septième plus grande ville de France et telle est la vision que j’en ai.

Cependant, Strasbourg est multiple; elle est la somme des regards et des histoires particulières de celles et ceux qui l’ont traversée ou qui la vivent au quotidien. Le photographe Frantisek Zvardon nous offre ici sa propre vision, celle de l’instant particulier que constitue l’image, entre espace et temps, entre l’urgence de la capture dans le mouvement du vol et la profondeur de la ville qui semble comme transpercée.

En survolant ainsi la ville, il bouscule nos schémas habituels et nous fait abandonner la perspective qui nous fait voir notre environnement quotidien à hauteur d’homme. Il nous dote des ailes de l’oiseau filant au-dessus des toits qui saisit en une suite de séquences, des plans obliques. Il nous pourvoit de l’œil de l’urbaniste ou du cartographe, qui surplombe la ville et en maîtrise les contours et les percées : maisons ou toits en grappe, saillie des cours d’eau, alignement des ponts, enchaînements de ruelles et de placettes, dessins des jardins à la française, bâtiments modernes en dominos ou en cylindres superposés…

Il parvient à nous restituer la tonalité de notre enracinement dans cette terre, en faisant de la densité du grès rose la chair même de son œuvre photographiée, nous reliant ainsi à travers le temps à ceux qui, en l’an 1015, posèrent la première pierre pour l’édification de notre majestueuse cathédrale.

Ainsi, les hommes qui apparaissent ici ou là dans cet ensemble de clichés sont en vérité l’âme même de la ville, car leur création, leur habitat, leurs réalisations, pétrissent ces images de présence humaine, chaleureuse et dense, dans une sorte d’arrière-plan virtuel.

Je tiens à rendre hommage ici au récit que nous fait Frantisek Zvardon au travers de ses images, car il nous raconte la ville comme témoin privilégié de la vie.

Roland Ries

Sénateur-Maire de Strasbourg

 

Livre édité en 2005 par les Éditions Carré Blanc, à 25 000 exemplaires, format 27 x 33 cm

 

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STRASBOURG 2009 

 

Son histoire, marquée par une confluence de cultures, nous est révélée par les strates architecturales de notre patrimoine urbain.

Sa Grande Ile classée au Patrimoine mondial de l’UNESCO, son quartier allemand symbolisant son destin particulier mais aussi ses avancées en matière sociale, son quartier européen incarnant sa capacité à surmonter les divisions et à promouvoir la réconciliation dans une Europe pacifiée, en font une ville qui mérite que l’on se dévoue pour elle. Telle est mon intime conviction d’élu auquel les citoyens ont confié la gestion de la septième plus grande ville de France et telle est la vision que j’en ai.

Cependant, Strasbourg est multiple; elle est la somme des regards et des histoires particulières de celles et ceux qui l’ont traversée ou qui la vivent au quotidien. Le photographe Frantisek Zvardon nous offre ici sa propre vision, celle de l’instant particulier que constitue l’image, entre espace et temps, entre l’urgence de la capture dans le mouvement du vol et la profondeur de la ville qui semble comme transpercée.

En survolant ainsi la ville, il bouscule nos schémas habituels et nous fait abandonner la perspective qui nous fait voir notre environnement quotidien à hauteur d’homme. Il nous dote des ailes de l’oiseau filant au-dessus des toits qui saisit en une suite de séquences, des plans obliques. Il nous pourvoit de l’œil de l’urbaniste ou du cartographe, qui surplombe la ville et en maîtrise les contours et les percées : maisons ou toits en grappe, saillie des cours d’eau, alignement des ponts, enchaînements de ruelles et de placettes, dessins des jardins à la française, bâtiments modernes en dominos ou en cylindres superposés…

Il parvient à nous restituer la tonalité de notre enracinement dans cette terre, en faisant de la densité du grès rose la chair même de son œuvre photographiée, nous reliant ainsi à travers le temps à ceux qui, en l’an 1015, posèrent la première pierre pour l’édification de notre majestueuse cathédrale.

Ainsi, les hommes qui apparaissent ici ou là dans cet ensemble de clichés sont en vérité l’âme même de la ville, car leur création, leur habitat, leurs réalisations, pétrissent ces images de présence humaine, chaleureuse et dense, dans une sorte d’arrière-plan virtuel.

Je tiens à rendre hommage ici au récit que nous fait Frantisek Zvardon au travers de ses images, car il nous raconte la ville comme témoin privilégié de la vie.

Roland Ries

Sénateur-Maire de Strasbourg

 

Livre édité en 2005 par les Éditions Carré Blanc, à 25 000 exemplaires, format 27 x 33 cm

 

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STRASBOURG 2009 

 

Son histoire, marquée par une confluence de cultures, nous est révélée par les strates architecturales de notre patrimoine urbain.

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Cependant, Strasbourg est multiple; elle est la somme des regards et des histoires particulières de celles et ceux qui l’ont traversée ou qui la vivent au quotidien. Le photographe Frantisek Zvardon nous offre ici sa propre vision, celle de l’instant particulier que constitue l’image, entre espace et temps, entre l’urgence de la capture dans le mouvement du vol et la profondeur de la ville qui semble comme transpercée.

En survolant ainsi la ville, il bouscule nos schémas habituels et nous fait abandonner la perspective qui nous fait voir notre environnement quotidien à hauteur d’homme. Il nous dote des ailes de l’oiseau filant au-dessus des toits qui saisit en une suite de séquences, des plans obliques. Il nous pourvoit de l’œil de l’urbaniste ou du cartographe, qui surplombe la ville et en maîtrise les contours et les percées : maisons ou toits en grappe, saillie des cours d’eau, alignement des ponts, enchaînements de ruelles et de placettes, dessins des jardins à la française, bâtiments modernes en dominos ou en cylindres superposés…

Il parvient à nous restituer la tonalité de notre enracinement dans cette terre, en faisant de la densité du grès rose la chair même de son œuvre photographiée, nous reliant ainsi à travers le temps à ceux qui, en l’an 1015, posèrent la première pierre pour l’édification de notre majestueuse cathédrale.

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Je tiens à rendre hommage ici au récit que nous fait Frantisek Zvardon au travers de ses images, car il nous raconte la ville comme témoin privilégié de la vie.

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Cependant, Strasbourg est multiple; elle est la somme des regards et des histoires particulières de celles et ceux qui l’ont traversée ou qui la vivent au quotidien. Le photographe Frantisek Zvardon nous offre ici sa propre vision, celle de l’instant particulier que constitue l’image, entre espace et temps, entre l’urgence de la capture dans le mouvement du vol et la profondeur de la ville qui semble comme transpercée.

En survolant ainsi la ville, il bouscule nos schémas habituels et nous fait abandonner la perspective qui nous fait voir notre environnement quotidien à hauteur d’homme. Il nous dote des ailes de l’oiseau filant au-dessus des toits qui saisit en une suite de séquences, des plans obliques. Il nous pourvoit de l’œil de l’urbaniste ou du cartographe, qui surplombe la ville et en maîtrise les contours et les percées : maisons ou toits en grappe, saillie des cours d’eau, alignement des ponts, enchaînements de ruelles et de placettes, dessins des jardins à la française, bâtiments modernes en dominos ou en cylindres superposés…

Il parvient à nous restituer la tonalité de notre enracinement dans cette terre, en faisant de la densité du grès rose la chair même de son œuvre photographiée, nous reliant ainsi à travers le temps à ceux qui, en l’an 1015, posèrent la première pierre pour l’édification de notre majestueuse cathédrale.

Ainsi, les hommes qui apparaissent ici ou là dans cet ensemble de clichés sont en vérité l’âme même de la ville, car leur création, leur habitat, leurs réalisations, pétrissent ces images de présence humaine, chaleureuse et dense, dans une sorte d’arrière-plan virtuel.

Je tiens à rendre hommage ici au récit que nous fait Frantisek Zvardon au travers de ses images, car il nous raconte la ville comme témoin privilégié de la vie.

Roland Ries

Sénateur-Maire de Strasbourg

 

Livre édité en 2005 par les Éditions Carré Blanc, à 25 000 exemplaires, format 27 x 33 cm

 

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STRASBOURG 2009 

 

Son histoire, marquée par une confluence de cultures, nous est révélée par les strates architecturales de notre patrimoine urbain.

Sa Grande Ile classée au Patrimoine mondial de l’UNESCO, son quartier allemand symbolisant son destin particulier mais aussi ses avancées en matière sociale, son quartier européen incarnant sa capacité à surmonter les divisions et à promouvoir la réconciliation dans une Europe pacifiée, en font une ville qui mérite que l’on se dévoue pour elle. Telle est mon intime conviction d’élu auquel les citoyens ont confié la gestion de la septième plus grande ville de France et telle est la vision que j’en ai.

Cependant, Strasbourg est multiple; elle est la somme des regards et des histoires particulières de celles et ceux qui l’ont traversée ou qui la vivent au quotidien. Le photographe Frantisek Zvardon nous offre ici sa propre vision, celle de l’instant particulier que constitue l’image, entre espace et temps, entre l’urgence de la capture dans le mouvement du vol et la profondeur de la ville qui semble comme transpercée.

En survolant ainsi la ville, il bouscule nos schémas habituels et nous fait abandonner la perspective qui nous fait voir notre environnement quotidien à hauteur d’homme. Il nous dote des ailes de l’oiseau filant au-dessus des toits qui saisit en une suite de séquences, des plans obliques. Il nous pourvoit de l’œil de l’urbaniste ou du cartographe, qui surplombe la ville et en maîtrise les contours et les percées : maisons ou toits en grappe, saillie des cours d’eau, alignement des ponts, enchaînements de ruelles et de placettes, dessins des jardins à la française, bâtiments modernes en dominos ou en cylindres superposés…

Il parvient à nous restituer la tonalité de notre enracinement dans cette terre, en faisant de la densité du grès rose la chair même de son œuvre photographiée, nous reliant ainsi à travers le temps à ceux qui, en l’an 1015, posèrent la première pierre pour l’édification de notre majestueuse cathédrale.

Ainsi, les hommes qui apparaissent ici ou là dans cet ensemble de clichés sont en vérité l’âme même de la ville, car leur création, leur habitat, leurs réalisations, pétrissent ces images de présence humaine, chaleureuse et dense, dans une sorte d’arrière-plan virtuel.

Je tiens à rendre hommage ici au récit que nous fait Frantisek Zvardon au travers de ses images, car il nous raconte la ville comme témoin privilégié de la vie.

Roland Ries

Sénateur-Maire de Strasbourg

 

Livre édité en 2005 par les Éditions Carré Blanc, à 25 000 exemplaires, format 27 x 33 cm

 

http-//www.carreblanc.fr/edition/villes-vues-du-ciel/collection/strasbourg

STRASBOURG 2009 

 

Son histoire, marquée par une confluence de cultures, nous est révélée par les strates architecturales de notre patrimoine urbain.

Sa Grande Ile classée au Patrimoine mondial de l’UNESCO, son quartier allemand symbolisant son destin particulier mais aussi ses avancées en matière sociale, son quartier européen incarnant sa capacité à surmonter les divisions et à promouvoir la réconciliation dans une Europe pacifiée, en font une ville qui mérite que l’on se dévoue pour elle. Telle est mon intime conviction d’élu auquel les citoyens ont confié la gestion de la septième plus grande ville de France et telle est la vision que j’en ai.

Cependant, Strasbourg est multiple; elle est la somme des regards et des histoires particulières de celles et ceux qui l’ont traversée ou qui la vivent au quotidien. Le photographe Frantisek Zvardon nous offre ici sa propre vision, celle de l’instant particulier que constitue l’image, entre espace et temps, entre l’urgence de la capture dans le mouvement du vol et la profondeur de la ville qui semble comme transpercée.

En survolant ainsi la ville, il bouscule nos schémas habituels et nous fait abandonner la perspective qui nous fait voir notre environnement quotidien à hauteur d’homme. Il nous dote des ailes de l’oiseau filant au-dessus des toits qui saisit en une suite de séquences, des plans obliques. Il nous pourvoit de l’œil de l’urbaniste ou du cartographe, qui surplombe la ville et en maîtrise les contours et les percées : maisons ou toits en grappe, saillie des cours d’eau, alignement des ponts, enchaînements de ruelles et de placettes, dessins des jardins à la française, bâtiments modernes en dominos ou en cylindres superposés…

Il parvient à nous restituer la tonalité de notre enracinement dans cette terre, en faisant de la densité du grès rose la chair même de son œuvre photographiée, nous reliant ainsi à travers le temps à ceux qui, en l’an 1015, posèrent la première pierre pour l’édification de notre majestueuse cathédrale.

Ainsi, les hommes qui apparaissent ici ou là dans cet ensemble de clichés sont en vérité l’âme même de la ville, car leur création, leur habitat, leurs réalisations, pétrissent ces images de présence humaine, chaleureuse et dense, dans une sorte d’arrière-plan virtuel.

Je tiens à rendre hommage ici au récit que nous fait Frantisek Zvardon au travers de ses images, car il nous raconte la ville comme témoin privilégié de la vie.

Roland Ries

Sénateur-Maire de Strasbourg

 

Livre édité en 2005 par les Éditions Carré Blanc, à 25 000 exemplaires, format 27 x 33 cm

 

http-//www.carreblanc.fr/edition/villes-vues-du-ciel/collection/strasbourg

STRASBOURG 2009 

 

Son histoire, marquée par une confluence de cultures, nous est révélée par les strates architecturales de notre patrimoine urbain.

Sa Grande Ile classée au Patrimoine mondial de l’UNESCO, son quartier allemand symbolisant son destin particulier mais aussi ses avancées en matière sociale, son quartier européen incarnant sa capacité à surmonter les divisions et à promouvoir la réconciliation dans une Europe pacifiée, en font une ville qui mérite que l’on se dévoue pour elle. Telle est mon intime conviction d’élu auquel les citoyens ont confié la gestion de la septième plus grande ville de France et telle est la vision que j’en ai.

Cependant, Strasbourg est multiple; elle est la somme des regards et des histoires particulières de celles et ceux qui l’ont traversée ou qui la vivent au quotidien. Le photographe Frantisek Zvardon nous offre ici sa propre vision, celle de l’instant particulier que constitue l’image, entre espace et temps, entre l’urgence de la capture dans le mouvement du vol et la profondeur de la ville qui semble comme transpercée.

En survolant ainsi la ville, il bouscule nos schémas habituels et nous fait abandonner la perspective qui nous fait voir notre environnement quotidien à hauteur d’homme. Il nous dote des ailes de l’oiseau filant au-dessus des toits qui saisit en une suite de séquences, des plans obliques. Il nous pourvoit de l’œil de l’urbaniste ou du cartographe, qui surplombe la ville et en maîtrise les contours et les percées : maisons ou toits en grappe, saillie des cours d’eau, alignement des ponts, enchaînements de ruelles et de placettes, dessins des jardins à la française, bâtiments modernes en dominos ou en cylindres superposés…

Il parvient à nous restituer la tonalité de notre enracinement dans cette terre, en faisant de la densité du grès rose la chair même de son œuvre photographiée, nous reliant ainsi à travers le temps à ceux qui, en l’an 1015, posèrent la première pierre pour l’édification de notre majestueuse cathédrale.

Ainsi, les hommes qui apparaissent ici ou là dans cet ensemble de clichés sont en vérité l’âme même de la ville, car leur création, leur habitat, leurs réalisations, pétrissent ces images de présence humaine, chaleureuse et dense, dans une sorte d’arrière-plan virtuel.

Je tiens à rendre hommage ici au récit que nous fait Frantisek Zvardon au travers de ses images, car il nous raconte la ville comme témoin privilégié de la vie.

Roland Ries

Sénateur-Maire de Strasbourg

 

Livre édité en 2005 par les Éditions Carré Blanc, à 25 000 exemplaires, format 27 x 33 cm

 

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STRASBOURG 2009 

 

Son histoire, marquée par une confluence de cultures, nous est révélée par les strates architecturales de notre patrimoine urbain.

Sa Grande Ile classée au Patrimoine mondial de l’UNESCO, son quartier allemand symbolisant son destin particulier mais aussi ses avancées en matière sociale, son quartier européen incarnant sa capacité à surmonter les divisions et à promouvoir la réconciliation dans une Europe pacifiée, en font une ville qui mérite que l’on se dévoue pour elle. Telle est mon intime conviction d’élu auquel les citoyens ont confié la gestion de la septième plus grande ville de France et telle est la vision que j’en ai.

Cependant, Strasbourg est multiple; elle est la somme des regards et des histoires particulières de celles et ceux qui l’ont traversée ou qui la vivent au quotidien. Le photographe Frantisek Zvardon nous offre ici sa propre vision, celle de l’instant particulier que constitue l’image, entre espace et temps, entre l’urgence de la capture dans le mouvement du vol et la profondeur de la ville qui semble comme transpercée.

En survolant ainsi la ville, il bouscule nos schémas habituels et nous fait abandonner la perspective qui nous fait voir notre environnement quotidien à hauteur d’homme. Il nous dote des ailes de l’oiseau filant au-dessus des toits qui saisit en une suite de séquences, des plans obliques. Il nous pourvoit de l’œil de l’urbaniste ou du cartographe, qui surplombe la ville et en maîtrise les contours et les percées : maisons ou toits en grappe, saillie des cours d’eau, alignement des ponts, enchaînements de ruelles et de placettes, dessins des jardins à la française, bâtiments modernes en dominos ou en cylindres superposés…

Il parvient à nous restituer la tonalité de notre enracinement dans cette terre, en faisant de la densité du grès rose la chair même de son œuvre photographiée, nous reliant ainsi à travers le temps à ceux qui, en l’an 1015, posèrent la première pierre pour l’édification de notre majestueuse cathédrale.

Ainsi, les hommes qui apparaissent ici ou là dans cet ensemble de clichés sont en vérité l’âme même de la ville, car leur création, leur habitat, leurs réalisations, pétrissent ces images de présence humaine, chaleureuse et dense, dans une sorte d’arrière-plan virtuel.

Je tiens à rendre hommage ici au récit que nous fait Frantisek Zvardon au travers de ses images, car il nous raconte la ville comme témoin privilégié de la vie.

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STRASBOURG 2009 

 

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Cependant, Strasbourg est multiple; elle est la somme des regards et des histoires particulières de celles et ceux qui l’ont traversée ou qui la vivent au quotidien. Le photographe Frantisek Zvardon nous offre ici sa propre vision, celle de l’instant particulier que constitue l’image, entre espace et temps, entre l’urgence de la capture dans le mouvement du vol et la profondeur de la ville qui semble comme transpercée.

En survolant ainsi la ville, il bouscule nos schémas habituels et nous fait abandonner la perspective qui nous fait voir notre environnement quotidien à hauteur d’homme. Il nous dote des ailes de l’oiseau filant au-dessus des toits qui saisit en une suite de séquences, des plans obliques. Il nous pourvoit de l’œil de l’urbaniste ou du cartographe, qui surplombe la ville et en maîtrise les contours et les percées : maisons ou toits en grappe, saillie des cours d’eau, alignement des ponts, enchaînements de ruelles et de placettes, dessins des jardins à la française, bâtiments modernes en dominos ou en cylindres superposés…

Il parvient à nous restituer la tonalité de notre enracinement dans cette terre, en faisant de la densité du grès rose la chair même de son œuvre photographiée, nous reliant ainsi à travers le temps à ceux qui, en l’an 1015, posèrent la première pierre pour l’édification de notre majestueuse cathédrale.

Ainsi, les hommes qui apparaissent ici ou là dans cet ensemble de clichés sont en vérité l’âme même de la ville, car leur création, leur habitat, leurs réalisations, pétrissent ces images de présence humaine, chaleureuse et dense, dans une sorte d’arrière-plan virtuel.

Je tiens à rendre hommage ici au récit que nous fait Frantisek Zvardon au travers de ses images, car il nous raconte la ville comme témoin privilégié de la vie.

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Son histoire, marquée par une confluence de cultures, nous est révélée par les strates architecturales de notre patrimoine urbain.

Sa Grande Ile classée au Patrimoine mondial de l’UNESCO, son quartier allemand symbolisant son destin particulier mais aussi ses avancées en matière sociale, son quartier européen incarnant sa capacité à surmonter les divisions et à promouvoir la réconciliation dans une Europe pacifiée, en font une ville qui mérite que l’on se dévoue pour elle. Telle est mon intime conviction d’élu auquel les citoyens ont confié la gestion de la septième plus grande ville de France et telle est la vision que j’en ai.

Cependant, Strasbourg est multiple; elle est la somme des regards et des histoires particulières de celles et ceux qui l’ont traversée ou qui la vivent au quotidien. Le photographe Frantisek Zvardon nous offre ici sa propre vision, celle de l’instant particulier que constitue l’image, entre espace et temps, entre l’urgence de la capture dans le mouvement du vol et la profondeur de la ville qui semble comme transpercée.

En survolant ainsi la ville, il bouscule nos schémas habituels et nous fait abandonner la perspective qui nous fait voir notre environnement quotidien à hauteur d’homme. Il nous dote des ailes de l’oiseau filant au-dessus des toits qui saisit en une suite de séquences, des plans obliques. Il nous pourvoit de l’œil de l’urbaniste ou du cartographe, qui surplombe la ville et en maîtrise les contours et les percées : maisons ou toits en grappe, saillie des cours d’eau, alignement des ponts, enchaînements de ruelles et de placettes, dessins des jardins à la française, bâtiments modernes en dominos ou en cylindres superposés…

Il parvient à nous restituer la tonalité de notre enracinement dans cette terre, en faisant de la densité du grès rose la chair même de son œuvre photographiée, nous reliant ainsi à travers le temps à ceux qui, en l’an 1015, posèrent la première pierre pour l’édification de notre majestueuse cathédrale.

Ainsi, les hommes qui apparaissent ici ou là dans cet ensemble de clichés sont en vérité l’âme même de la ville, car leur création, leur habitat, leurs réalisations, pétrissent ces images de présence humaine, chaleureuse et dense, dans une sorte d’arrière-plan virtuel.

Je tiens à rendre hommage ici au récit que nous fait Frantisek Zvardon au travers de ses images, car il nous raconte la ville comme témoin privilégié de la vie.

Roland Ries

Sénateur-Maire de Strasbourg

 

Livre édité en 2005 par les Éditions Carré Blanc, à 25 000 exemplaires, format 27 x 33 cm

 

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Son histoire, marquée par une confluence de cultures, nous est révélée par les strates architecturales de notre patrimoine urbain.

Sa Grande Ile classée au Patrimoine mondial de l’UNESCO, son quartier allemand symbolisant son destin particulier mais aussi ses avancées en matière sociale, son quartier européen incarnant sa capacité à surmonter les divisions et à promouvoir la réconciliation dans une Europe pacifiée, en font une ville qui mérite que l’on se dévoue pour elle. Telle est mon intime conviction d’élu auquel les citoyens ont confié la gestion de la septième plus grande ville de France et telle est la vision que j’en ai.

Cependant, Strasbourg est multiple; elle est la somme des regards et des histoires particulières de celles et ceux qui l’ont traversée ou qui la vivent au quotidien. Le photographe Frantisek Zvardon nous offre ici sa propre vision, celle de l’instant particulier que constitue l’image, entre espace et temps, entre l’urgence de la capture dans le mouvement du vol et la profondeur de la ville qui semble comme transpercée.

En survolant ainsi la ville, il bouscule nos schémas habituels et nous fait abandonner la perspective qui nous fait voir notre environnement quotidien à hauteur d’homme. Il nous dote des ailes de l’oiseau filant au-dessus des toits qui saisit en une suite de séquences, des plans obliques. Il nous pourvoit de l’œil de l’urbaniste ou du cartographe, qui surplombe la ville et en maîtrise les contours et les percées : maisons ou toits en grappe, saillie des cours d’eau, alignement des ponts, enchaînements de ruelles et de placettes, dessins des jardins à la française, bâtiments modernes en dominos ou en cylindres superposés…

Il parvient à nous restituer la tonalité de notre enracinement dans cette terre, en faisant de la densité du grès rose la chair même de son œuvre photographiée, nous reliant ainsi à travers le temps à ceux qui, en l’an 1015, posèrent la première pierre pour l’édification de notre majestueuse cathédrale.

Ainsi, les hommes qui apparaissent ici ou là dans cet ensemble de clichés sont en vérité l’âme même de la ville, car leur création, leur habitat, leurs réalisations, pétrissent ces images de présence humaine, chaleureuse et dense, dans une sorte d’arrière-plan virtuel.

Je tiens à rendre hommage ici au récit que nous fait Frantisek Zvardon au travers de ses images, car il nous raconte la ville comme témoin privilégié de la vie.

Roland Ries

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Livre édité en 2005 par les Éditions Carré Blanc, à 25 000 exemplaires, format 27 x 33 cm

 

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Cependant, Strasbourg est multiple; elle est la somme des regards et des histoires particulières de celles et ceux qui l’ont traversée ou qui la vivent au quotidien. Le photographe Frantisek Zvardon nous offre ici sa propre vision, celle de l’instant particulier que constitue l’image, entre espace et temps, entre l’urgence de la capture dans le mouvement du vol et la profondeur de la ville qui semble comme transpercée.

En survolant ainsi la ville, il bouscule nos schémas habituels et nous fait abandonner la perspective qui nous fait voir notre environnement quotidien à hauteur d’homme. Il nous dote des ailes de l’oiseau filant au-dessus des toits qui saisit en une suite de séquences, des plans obliques. Il nous pourvoit de l’œil de l’urbaniste ou du cartographe, qui surplombe la ville et en maîtrise les contours et les percées : maisons ou toits en grappe, saillie des cours d’eau, alignement des ponts, enchaînements de ruelles et de placettes, dessins des jardins à la française, bâtiments modernes en dominos ou en cylindres superposés…

Il parvient à nous restituer la tonalité de notre enracinement dans cette terre, en faisant de la densité du grès rose la chair même de son œuvre photographiée, nous reliant ainsi à travers le temps à ceux qui, en l’an 1015, posèrent la première pierre pour l’édification de notre majestueuse cathédrale.

Ainsi, les hommes qui apparaissent ici ou là dans cet ensemble de clichés sont en vérité l’âme même de la ville, car leur création, leur habitat, leurs réalisations, pétrissent ces images de présence humaine, chaleureuse et dense, dans une sorte d’arrière-plan virtuel.

Je tiens à rendre hommage ici au récit que nous fait Frantisek Zvardon au travers de ses images, car il nous raconte la ville comme témoin privilégié de la vie.

Roland Ries

Sénateur-Maire de Strasbourg

 

Livre édité en 2005 par les Éditions Carré Blanc, à 25 000 exemplaires, format 27 x 33 cm

 

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STRASBOURG 2009 

 

Son histoire, marquée par une confluence de cultures, nous est révélée par les strates architecturales de notre patrimoine urbain.

Sa Grande Ile classée au Patrimoine mondial de l’UNESCO, son quartier allemand symbolisant son destin particulier mais aussi ses avancées en matière sociale, son quartier européen incarnant sa capacité à surmonter les divisions et à promouvoir la réconciliation dans une Europe pacifiée, en font une ville qui mérite que l’on se dévoue pour elle. Telle est mon intime conviction d’élu auquel les citoyens ont confié la gestion de la septième plus grande ville de France et telle est la vision que j’en ai.

Cependant, Strasbourg est multiple; elle est la somme des regards et des histoires particulières de celles et ceux qui l’ont traversée ou qui la vivent au quotidien. Le photographe Frantisek Zvardon nous offre ici sa propre vision, celle de l’instant particulier que constitue l’image, entre espace et temps, entre l’urgence de la capture dans le mouvement du vol et la profondeur de la ville qui semble comme transpercée.

En survolant ainsi la ville, il bouscule nos schémas habituels et nous fait abandonner la perspective qui nous fait voir notre environnement quotidien à hauteur d’homme. Il nous dote des ailes de l’oiseau filant au-dessus des toits qui saisit en une suite de séquences, des plans obliques. Il nous pourvoit de l’œil de l’urbaniste ou du cartographe, qui surplombe la ville et en maîtrise les contours et les percées : maisons ou toits en grappe, saillie des cours d’eau, alignement des ponts, enchaînements de ruelles et de placettes, dessins des jardins à la française, bâtiments modernes en dominos ou en cylindres superposés…

Il parvient à nous restituer la tonalité de notre enracinement dans cette terre, en faisant de la densité du grès rose la chair même de son œuvre photographiée, nous reliant ainsi à travers le temps à ceux qui, en l’an 1015, posèrent la première pierre pour l’édification de notre majestueuse cathédrale.

Ainsi, les hommes qui apparaissent ici ou là dans cet ensemble de clichés sont en vérité l’âme même de la ville, car leur création, leur habitat, leurs réalisations, pétrissent ces images de présence humaine, chaleureuse et dense, dans une sorte d’arrière-plan virtuel.

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Roland Ries

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Cependant, Strasbourg est multiple; elle est la somme des regards et des histoires particulières de celles et ceux qui l’ont traversée ou qui la vivent au quotidien. Le photographe Frantisek Zvardon nous offre ici sa propre vision, celle de l’instant particulier que constitue l’image, entre espace et temps, entre l’urgence de la capture dans le mouvement du vol et la profondeur de la ville qui semble comme transpercée.

En survolant ainsi la ville, il bouscule nos schémas habituels et nous fait abandonner la perspective qui nous fait voir notre environnement quotidien à hauteur d’homme. Il nous dote des ailes de l’oiseau filant au-dessus des toits qui saisit en une suite de séquences, des plans obliques. Il nous pourvoit de l’œil de l’urbaniste ou du cartographe, qui surplombe la ville et en maîtrise les contours et les percées : maisons ou toits en grappe, saillie des cours d’eau, alignement des ponts, enchaînements de ruelles et de placettes, dessins des jardins à la française, bâtiments modernes en dominos ou en cylindres superposés…

Il parvient à nous restituer la tonalité de notre enracinement dans cette terre, en faisant de la densité du grès rose la chair même de son œuvre photographiée, nous reliant ainsi à travers le temps à ceux qui, en l’an 1015, posèrent la première pierre pour l’édification de notre majestueuse cathédrale.

Ainsi, les hommes qui apparaissent ici ou là dans cet ensemble de clichés sont en vérité l’âme même de la ville, car leur création, leur habitat, leurs réalisations, pétrissent ces images de présence humaine, chaleureuse et dense, dans une sorte d’arrière-plan virtuel.

Je tiens à rendre hommage ici au récit que nous fait Frantisek Zvardon au travers de ses images, car il nous raconte la ville comme témoin privilégié de la vie.

Roland Ries

Sénateur-Maire de Strasbourg

 

Livre édité en 2005 par les Éditions Carré Blanc, à 25 000 exemplaires, format 27 x 33 cm

 

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