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Pétra Werlé De la Nature des choses 2010 Edition Castor & Pollux

Ces gens-là
Les gens libres le sont !
Ils n’ont pas à le démontrer.
En auraient-ils seulement l’envie ou le désir ?
Peut-être ne savent-ils même pas qu’ils échappent douloureusement à la conformité, à l’ordre social, à l’uniformisation des apparences et des idées.
Ils sont poètes, et tremblent d’émotion en se parant de varech et de plumes d’oiseau. Ils vont, sans souci des frontières, en chenilles non-processionnaires. En désordre absolu !
Ils ont des pensées de flores multiples, d’anémones coquelicots, de lotus bleu d’Egypte. De concert avec les marées. Attentifs aux brises du matin, au sel de la mer délicatement déposé sur des ailes de papillon dont ils font des chapeaux.
Alors, ils saluent bien bas les champignons vénéneux. Car l’amanite est susceptible. Elle tue sans remord les mouches, les panthères impolies, les Césars triomphants.
Les gens libres ont des doigts pour effleurer le dos des scarabées. Au pousse-pied d’Asturies, ils marient la palourde, les plumes d’échassier, la chrysalide d’or. Ils s’enrobent de mousse et pensent à la mort. Aux bagnes des Guyanes luxuriantes. Dans l’ombre des lianes constrictors.
Ces gens-là ont des dents. Elles leur servent parfois à sourire et à mordre. Les écorces de chênes en portent les blessures. Elles saignent en de riants torrents d’hydromel et de sève, où vont boire la libellule et l’abeille, le pic-vert et l’autour. A l’heure où des mouvements graciles demandent à la grande ourse de revenir sur terre.
Les gens libres ne sont pas en conflit avec l’univers.
Ils ont des vagues à l’âme. Des bleus comme des offrandes. Ils aiment les chardons et les serres d’épervier. Ils pleurent en silence sous les eucalyptus. Ils implorent les fougères, les rouges-gorges graciles.
Ils nous supplient de vivre !

Pétra Werlé De la Nature des choses 2010 Edition Castor & Pollux

Ces gens-là
Les gens libres le sont !
Ils n’ont pas à le démontrer.
En auraient-ils seulement l’envie ou le désir ?
Peut-être ne savent-ils même pas qu’ils échappent douloureusement à la conformité, à l’ordre social, à l’uniformisation des apparences et des idées.
Ils sont poètes, et tremblent d’émotion en se parant de varech et de plumes d’oiseau. Ils vont, sans souci des frontières, en chenilles non-processionnaires. En désordre absolu !
Ils ont des pensées de flores multiples, d’anémones coquelicots, de lotus bleu d’Egypte. De concert avec les marées. Attentifs aux brises du matin, au sel de la mer délicatement déposé sur des ailes de papillon dont ils font des chapeaux.
Alors, ils saluent bien bas les champignons vénéneux. Car l’amanite est susceptible. Elle tue sans remord les mouches, les panthères impolies, les Césars triomphants.
Les gens libres ont des doigts pour effleurer le dos des scarabées. Au pousse-pied d’Asturies, ils marient la palourde, les plumes d’échassier, la chrysalide d’or. Ils s’enrobent de mousse et pensent à la mort. Aux bagnes des Guyanes luxuriantes. Dans l’ombre des lianes constrictors.
Ces gens-là ont des dents. Elles leur servent parfois à sourire et à mordre. Les écorces de chênes en portent les blessures. Elles saignent en de riants torrents d’hydromel et de sève, où vont boire la libellule et l’abeille, le pic-vert et l’autour. A l’heure où des mouvements graciles demandent à la grande ourse de revenir sur terre.
Les gens libres ne sont pas en conflit avec l’univers.
Ils ont des vagues à l’âme. Des bleus comme des offrandes. Ils aiment les chardons et les serres d’épervier. Ils pleurent en silence sous les eucalyptus. Ils implorent les fougères, les rouges-gorges graciles.
Ils nous supplient de vivre !

Pétra Werlé De la Nature des choses 2010 Edition Castor & Pollux

Ces gens-là
Les gens libres le sont !
Ils n’ont pas à le démontrer.
En auraient-ils seulement l’envie ou le désir ?
Peut-être ne savent-ils même pas qu’ils échappent douloureusement à la conformité, à l’ordre social, à l’uniformisation des apparences et des idées.
Ils sont poètes, et tremblent d’émotion en se parant de varech et de plumes d’oiseau. Ils vont, sans souci des frontières, en chenilles non-processionnaires. En désordre absolu !
Ils ont des pensées de flores multiples, d’anémones coquelicots, de lotus bleu d’Egypte. De concert avec les marées. Attentifs aux brises du matin, au sel de la mer délicatement déposé sur des ailes de papillon dont ils font des chapeaux.
Alors, ils saluent bien bas les champignons vénéneux. Car l’amanite est susceptible. Elle tue sans remord les mouches, les panthères impolies, les Césars triomphants.
Les gens libres ont des doigts pour effleurer le dos des scarabées. Au pousse-pied d’Asturies, ils marient la palourde, les plumes d’échassier, la chrysalide d’or. Ils s’enrobent de mousse et pensent à la mort. Aux bagnes des Guyanes luxuriantes. Dans l’ombre des lianes constrictors.
Ces gens-là ont des dents. Elles leur servent parfois à sourire et à mordre. Les écorces de chênes en portent les blessures. Elles saignent en de riants torrents d’hydromel et de sève, où vont boire la libellule et l’abeille, le pic-vert et l’autour. A l’heure où des mouvements graciles demandent à la grande ourse de revenir sur terre.
Les gens libres ne sont pas en conflit avec l’univers.
Ils ont des vagues à l’âme. Des bleus comme des offrandes. Ils aiment les chardons et les serres d’épervier. Ils pleurent en silence sous les eucalyptus. Ils implorent les fougères, les rouges-gorges graciles.
Ils nous supplient de vivre !

Pétra Werlé De la Nature des choses 2010 Edition Castor & Pollux

Ces gens-là
Les gens libres le sont !
Ils n’ont pas à le démontrer.
En auraient-ils seulement l’envie ou le désir ?
Peut-être ne savent-ils même pas qu’ils échappent douloureusement à la conformité, à l’ordre social, à l’uniformisation des apparences et des idées.
Ils sont poètes, et tremblent d’émotion en se parant de varech et de plumes d’oiseau. Ils vont, sans souci des frontières, en chenilles non-processionnaires. En désordre absolu !
Ils ont des pensées de flores multiples, d’anémones coquelicots, de lotus bleu d’Egypte. De concert avec les marées. Attentifs aux brises du matin, au sel de la mer délicatement déposé sur des ailes de papillon dont ils font des chapeaux.
Alors, ils saluent bien bas les champignons vénéneux. Car l’amanite est susceptible. Elle tue sans remord les mouches, les panthères impolies, les Césars triomphants.
Les gens libres ont des doigts pour effleurer le dos des scarabées. Au pousse-pied d’Asturies, ils marient la palourde, les plumes d’échassier, la chrysalide d’or. Ils s’enrobent de mousse et pensent à la mort. Aux bagnes des Guyanes luxuriantes. Dans l’ombre des lianes constrictors.
Ces gens-là ont des dents. Elles leur servent parfois à sourire et à mordre. Les écorces de chênes en portent les blessures. Elles saignent en de riants torrents d’hydromel et de sève, où vont boire la libellule et l’abeille, le pic-vert et l’autour. A l’heure où des mouvements graciles demandent à la grande ourse de revenir sur terre.
Les gens libres ne sont pas en conflit avec l’univers.
Ils ont des vagues à l’âme. Des bleus comme des offrandes. Ils aiment les chardons et les serres d’épervier. Ils pleurent en silence sous les eucalyptus. Ils implorent les fougères, les rouges-gorges graciles.
Ils nous supplient de vivre !

Pétra Werlé De la Nature des choses 2010 Edition Castor & Pollux

Ces gens-là
Les gens libres le sont !
Ils n’ont pas à le démontrer.
En auraient-ils seulement l’envie ou le désir ?
Peut-être ne savent-ils même pas qu’ils échappent douloureusement à la conformité, à l’ordre social, à l’uniformisation des apparences et des idées.
Ils sont poètes, et tremblent d’émotion en se parant de varech et de plumes d’oiseau. Ils vont, sans souci des frontières, en chenilles non-processionnaires. En désordre absolu !
Ils ont des pensées de flores multiples, d’anémones coquelicots, de lotus bleu d’Egypte. De concert avec les marées. Attentifs aux brises du matin, au sel de la mer délicatement déposé sur des ailes de papillon dont ils font des chapeaux.
Alors, ils saluent bien bas les champignons vénéneux. Car l’amanite est susceptible. Elle tue sans remord les mouches, les panthères impolies, les Césars triomphants.
Les gens libres ont des doigts pour effleurer le dos des scarabées. Au pousse-pied d’Asturies, ils marient la palourde, les plumes d’échassier, la chrysalide d’or. Ils s’enrobent de mousse et pensent à la mort. Aux bagnes des Guyanes luxuriantes. Dans l’ombre des lianes constrictors.
Ces gens-là ont des dents. Elles leur servent parfois à sourire et à mordre. Les écorces de chênes en portent les blessures. Elles saignent en de riants torrents d’hydromel et de sève, où vont boire la libellule et l’abeille, le pic-vert et l’autour. A l’heure où des mouvements graciles demandent à la grande ourse de revenir sur terre.
Les gens libres ne sont pas en conflit avec l’univers.
Ils ont des vagues à l’âme. Des bleus comme des offrandes. Ils aiment les chardons et les serres d’épervier. Ils pleurent en silence sous les eucalyptus. Ils implorent les fougères, les rouges-gorges graciles.
Ils nous supplient de vivre !

Pétra Werlé De la Nature des choses 2010 Edition Castor & Pollux

Ces gens-là
Les gens libres le sont !
Ils n’ont pas à le démontrer.
En auraient-ils seulement l’envie ou le désir ?
Peut-être ne savent-ils même pas qu’ils échappent douloureusement à la conformité, à l’ordre social, à l’uniformisation des apparences et des idées.
Ils sont poètes, et tremblent d’émotion en se parant de varech et de plumes d’oiseau. Ils vont, sans souci des frontières, en chenilles non-processionnaires. En désordre absolu !
Ils ont des pensées de flores multiples, d’anémones coquelicots, de lotus bleu d’Egypte. De concert avec les marées. Attentifs aux brises du matin, au sel de la mer délicatement déposé sur des ailes de papillon dont ils font des chapeaux.
Alors, ils saluent bien bas les champignons vénéneux. Car l’amanite est susceptible. Elle tue sans remord les mouches, les panthères impolies, les Césars triomphants.
Les gens libres ont des doigts pour effleurer le dos des scarabées. Au pousse-pied d’Asturies, ils marient la palourde, les plumes d’échassier, la chrysalide d’or. Ils s’enrobent de mousse et pensent à la mort. Aux bagnes des Guyanes luxuriantes. Dans l’ombre des lianes constrictors.
Ces gens-là ont des dents. Elles leur servent parfois à sourire et à mordre. Les écorces de chênes en portent les blessures. Elles saignent en de riants torrents d’hydromel et de sève, où vont boire la libellule et l’abeille, le pic-vert et l’autour. A l’heure où des mouvements graciles demandent à la grande ourse de revenir sur terre.
Les gens libres ne sont pas en conflit avec l’univers.
Ils ont des vagues à l’âme. Des bleus comme des offrandes. Ils aiment les chardons et les serres d’épervier. Ils pleurent en silence sous les eucalyptus. Ils implorent les fougères, les rouges-gorges graciles.
Ils nous supplient de vivre !

Pétra Werlé De la Nature des choses 2010 Edition Castor & Pollux

Ces gens-là
Les gens libres le sont !
Ils n’ont pas à le démontrer.
En auraient-ils seulement l’envie ou le désir ?
Peut-être ne savent-ils même pas qu’ils échappent douloureusement à la conformité, à l’ordre social, à l’uniformisation des apparences et des idées.
Ils sont poètes, et tremblent d’émotion en se parant de varech et de plumes d’oiseau. Ils vont, sans souci des frontières, en chenilles non-processionnaires. En désordre absolu !
Ils ont des pensées de flores multiples, d’anémones coquelicots, de lotus bleu d’Egypte. De concert avec les marées. Attentifs aux brises du matin, au sel de la mer délicatement déposé sur des ailes de papillon dont ils font des chapeaux.
Alors, ils saluent bien bas les champignons vénéneux. Car l’amanite est susceptible. Elle tue sans remord les mouches, les panthères impolies, les Césars triomphants.
Les gens libres ont des doigts pour effleurer le dos des scarabées. Au pousse-pied d’Asturies, ils marient la palourde, les plumes d’échassier, la chrysalide d’or. Ils s’enrobent de mousse et pensent à la mort. Aux bagnes des Guyanes luxuriantes. Dans l’ombre des lianes constrictors.
Ces gens-là ont des dents. Elles leur servent parfois à sourire et à mordre. Les écorces de chênes en portent les blessures. Elles saignent en de riants torrents d’hydromel et de sève, où vont boire la libellule et l’abeille, le pic-vert et l’autour. A l’heure où des mouvements graciles demandent à la grande ourse de revenir sur terre.
Les gens libres ne sont pas en conflit avec l’univers.
Ils ont des vagues à l’âme. Des bleus comme des offrandes. Ils aiment les chardons et les serres d’épervier. Ils pleurent en silence sous les eucalyptus. Ils implorent les fougères, les rouges-gorges graciles.
Ils nous supplient de vivre !

Pétra Werlé De la Nature des choses 2010 Edition Castor & Pollux

Ces gens-là
Les gens libres le sont !
Ils n’ont pas à le démontrer.
En auraient-ils seulement l’envie ou le désir ?
Peut-être ne savent-ils même pas qu’ils échappent douloureusement à la conformité, à l’ordre social, à l’uniformisation des apparences et des idées.
Ils sont poètes, et tremblent d’émotion en se parant de varech et de plumes d’oiseau. Ils vont, sans souci des frontières, en chenilles non-processionnaires. En désordre absolu !
Ils ont des pensées de flores multiples, d’anémones coquelicots, de lotus bleu d’Egypte. De concert avec les marées. Attentifs aux brises du matin, au sel de la mer délicatement déposé sur des ailes de papillon dont ils font des chapeaux.
Alors, ils saluent bien bas les champignons vénéneux. Car l’amanite est susceptible. Elle tue sans remord les mouches, les panthères impolies, les Césars triomphants.
Les gens libres ont des doigts pour effleurer le dos des scarabées. Au pousse-pied d’Asturies, ils marient la palourde, les plumes d’échassier, la chrysalide d’or. Ils s’enrobent de mousse et pensent à la mort. Aux bagnes des Guyanes luxuriantes. Dans l’ombre des lianes constrictors.
Ces gens-là ont des dents. Elles leur servent parfois à sourire et à mordre. Les écorces de chênes en portent les blessures. Elles saignent en de riants torrents d’hydromel et de sève, où vont boire la libellule et l’abeille, le pic-vert et l’autour. A l’heure où des mouvements graciles demandent à la grande ourse de revenir sur terre.
Les gens libres ne sont pas en conflit avec l’univers.
Ils ont des vagues à l’âme. Des bleus comme des offrandes. Ils aiment les chardons et les serres d’épervier. Ils pleurent en silence sous les eucalyptus. Ils implorent les fougères, les rouges-gorges graciles.
Ils nous supplient de vivre !

Pétra Werlé De la Nature des choses 2010 Edition Castor & Pollux

Ces gens-là
Les gens libres le sont !
Ils n’ont pas à le démontrer.
En auraient-ils seulement l’envie ou le désir ?
Peut-être ne savent-ils même pas qu’ils échappent douloureusement à la conformité, à l’ordre social, à l’uniformisation des apparences et des idées.
Ils sont poètes, et tremblent d’émotion en se parant de varech et de plumes d’oiseau. Ils vont, sans souci des frontières, en chenilles non-processionnaires. En désordre absolu !
Ils ont des pensées de flores multiples, d’anémones coquelicots, de lotus bleu d’Egypte. De concert avec les marées. Attentifs aux brises du matin, au sel de la mer délicatement déposé sur des ailes de papillon dont ils font des chapeaux.
Alors, ils saluent bien bas les champignons vénéneux. Car l’amanite est susceptible. Elle tue sans remord les mouches, les panthères impolies, les Césars triomphants.
Les gens libres ont des doigts pour effleurer le dos des scarabées. Au pousse-pied d’Asturies, ils marient la palourde, les plumes d’échassier, la chrysalide d’or. Ils s’enrobent de mousse et pensent à la mort. Aux bagnes des Guyanes luxuriantes. Dans l’ombre des lianes constrictors.
Ces gens-là ont des dents. Elles leur servent parfois à sourire et à mordre. Les écorces de chênes en portent les blessures. Elles saignent en de riants torrents d’hydromel et de sève, où vont boire la libellule et l’abeille, le pic-vert et l’autour. A l’heure où des mouvements graciles demandent à la grande ourse de revenir sur terre.
Les gens libres ne sont pas en conflit avec l’univers.
Ils ont des vagues à l’âme. Des bleus comme des offrandes. Ils aiment les chardons et les serres d’épervier. Ils pleurent en silence sous les eucalyptus. Ils implorent les fougères, les rouges-gorges graciles.
Ils nous supplient de vivre !

Pétra Werlé De la Nature des choses 2010 Edition Castor & Pollux

Ces gens-là
Les gens libres le sont !
Ils n’ont pas à le démontrer.
En auraient-ils seulement l’envie ou le désir ?
Peut-être ne savent-ils même pas qu’ils échappent douloureusement à la conformité, à l’ordre social, à l’uniformisation des apparences et des idées.
Ils sont poètes, et tremblent d’émotion en se parant de varech et de plumes d’oiseau. Ils vont, sans souci des frontières, en chenilles non-processionnaires. En désordre absolu !
Ils ont des pensées de flores multiples, d’anémones coquelicots, de lotus bleu d’Egypte. De concert avec les marées. Attentifs aux brises du matin, au sel de la mer délicatement déposé sur des ailes de papillon dont ils font des chapeaux.
Alors, ils saluent bien bas les champignons vénéneux. Car l’amanite est susceptible. Elle tue sans remord les mouches, les panthères impolies, les Césars triomphants.
Les gens libres ont des doigts pour effleurer le dos des scarabées. Au pousse-pied d’Asturies, ils marient la palourde, les plumes d’échassier, la chrysalide d’or. Ils s’enrobent de mousse et pensent à la mort. Aux bagnes des Guyanes luxuriantes. Dans l’ombre des lianes constrictors.
Ces gens-là ont des dents. Elles leur servent parfois à sourire et à mordre. Les écorces de chênes en portent les blessures. Elles saignent en de riants torrents d’hydromel et de sève, où vont boire la libellule et l’abeille, le pic-vert et l’autour. A l’heure où des mouvements graciles demandent à la grande ourse de revenir sur terre.
Les gens libres ne sont pas en conflit avec l’univers.
Ils ont des vagues à l’âme. Des bleus comme des offrandes. Ils aiment les chardons et les serres d’épervier. Ils pleurent en silence sous les eucalyptus. Ils implorent les fougères, les rouges-gorges graciles.
Ils nous supplient de vivre !

Pétra Werlé De la Nature des choses 2010 Edition Castor & Pollux

Ces gens-là
Les gens libres le sont !
Ils n’ont pas à le démontrer.
En auraient-ils seulement l’envie ou le désir ?
Peut-être ne savent-ils même pas qu’ils échappent douloureusement à la conformité, à l’ordre social, à l’uniformisation des apparences et des idées.
Ils sont poètes, et tremblent d’émotion en se parant de varech et de plumes d’oiseau. Ils vont, sans souci des frontières, en chenilles non-processionnaires. En désordre absolu !
Ils ont des pensées de flores multiples, d’anémones coquelicots, de lotus bleu d’Egypte. De concert avec les marées. Attentifs aux brises du matin, au sel de la mer délicatement déposé sur des ailes de papillon dont ils font des chapeaux.
Alors, ils saluent bien bas les champignons vénéneux. Car l’amanite est susceptible. Elle tue sans remord les mouches, les panthères impolies, les Césars triomphants.
Les gens libres ont des doigts pour effleurer le dos des scarabées. Au pousse-pied d’Asturies, ils marient la palourde, les plumes d’échassier, la chrysalide d’or. Ils s’enrobent de mousse et pensent à la mort. Aux bagnes des Guyanes luxuriantes. Dans l’ombre des lianes constrictors.
Ces gens-là ont des dents. Elles leur servent parfois à sourire et à mordre. Les écorces de chênes en portent les blessures. Elles saignent en de riants torrents d’hydromel et de sève, où vont boire la libellule et l’abeille, le pic-vert et l’autour. A l’heure où des mouvements graciles demandent à la grande ourse de revenir sur terre.
Les gens libres ne sont pas en conflit avec l’univers.
Ils ont des vagues à l’âme. Des bleus comme des offrandes. Ils aiment les chardons et les serres d’épervier. Ils pleurent en silence sous les eucalyptus. Ils implorent les fougères, les rouges-gorges graciles.
Ils nous supplient de vivre !

Pétra Werlé De la Nature des choses 2010 Edition Castor & Pollux

Ces gens-là
Les gens libres le sont !
Ils n’ont pas à le démontrer.
En auraient-ils seulement l’envie ou le désir ?
Peut-être ne savent-ils même pas qu’ils échappent douloureusement à la conformité, à l’ordre social, à l’uniformisation des apparences et des idées.
Ils sont poètes, et tremblent d’émotion en se parant de varech et de plumes d’oiseau. Ils vont, sans souci des frontières, en chenilles non-processionnaires. En désordre absolu !
Ils ont des pensées de flores multiples, d’anémones coquelicots, de lotus bleu d’Egypte. De concert avec les marées. Attentifs aux brises du matin, au sel de la mer délicatement déposé sur des ailes de papillon dont ils font des chapeaux.
Alors, ils saluent bien bas les champignons vénéneux. Car l’amanite est susceptible. Elle tue sans remord les mouches, les panthères impolies, les Césars triomphants.
Les gens libres ont des doigts pour effleurer le dos des scarabées. Au pousse-pied d’Asturies, ils marient la palourde, les plumes d’échassier, la chrysalide d’or. Ils s’enrobent de mousse et pensent à la mort. Aux bagnes des Guyanes luxuriantes. Dans l’ombre des lianes constrictors.
Ces gens-là ont des dents. Elles leur servent parfois à sourire et à mordre. Les écorces de chênes en portent les blessures. Elles saignent en de riants torrents d’hydromel et de sève, où vont boire la libellule et l’abeille, le pic-vert et l’autour. A l’heure où des mouvements graciles demandent à la grande ourse de revenir sur terre.
Les gens libres ne sont pas en conflit avec l’univers.
Ils ont des vagues à l’âme. Des bleus comme des offrandes. Ils aiment les chardons et les serres d’épervier. Ils pleurent en silence sous les eucalyptus. Ils implorent les fougères, les rouges-gorges graciles.
Ils nous supplient de vivre !

Pétra Werlé De la Nature des choses 2010 Edition Castor & Pollux

Ces gens-là
Les gens libres le sont !
Ils n’ont pas à le démontrer.
En auraient-ils seulement l’envie ou le désir ?
Peut-être ne savent-ils même pas qu’ils échappent douloureusement à la conformité, à l’ordre social, à l’uniformisation des apparences et des idées.
Ils sont poètes, et tremblent d’émotion en se parant de varech et de plumes d’oiseau. Ils vont, sans souci des frontières, en chenilles non-processionnaires. En désordre absolu !
Ils ont des pensées de flores multiples, d’anémones coquelicots, de lotus bleu d’Egypte. De concert avec les marées. Attentifs aux brises du matin, au sel de la mer délicatement déposé sur des ailes de papillon dont ils font des chapeaux.
Alors, ils saluent bien bas les champignons vénéneux. Car l’amanite est susceptible. Elle tue sans remord les mouches, les panthères impolies, les Césars triomphants.
Les gens libres ont des doigts pour effleurer le dos des scarabées. Au pousse-pied d’Asturies, ils marient la palourde, les plumes d’échassier, la chrysalide d’or. Ils s’enrobent de mousse et pensent à la mort. Aux bagnes des Guyanes luxuriantes. Dans l’ombre des lianes constrictors.
Ces gens-là ont des dents. Elles leur servent parfois à sourire et à mordre. Les écorces de chênes en portent les blessures. Elles saignent en de riants torrents d’hydromel et de sève, où vont boire la libellule et l’abeille, le pic-vert et l’autour. A l’heure où des mouvements graciles demandent à la grande ourse de revenir sur terre.
Les gens libres ne sont pas en conflit avec l’univers.
Ils ont des vagues à l’âme. Des bleus comme des offrandes. Ils aiment les chardons et les serres d’épervier. Ils pleurent en silence sous les eucalyptus. Ils implorent les fougères, les rouges-gorges graciles.
Ils nous supplient de vivre !

Pétra Werlé De la Nature des choses 2010 Edition Castor & Pollux

Ces gens-là
Les gens libres le sont !
Ils n’ont pas à le démontrer.
En auraient-ils seulement l’envie ou le désir ?
Peut-être ne savent-ils même pas qu’ils échappent douloureusement à la conformité, à l’ordre social, à l’uniformisation des apparences et des idées.
Ils sont poètes, et tremblent d’émotion en se parant de varech et de plumes d’oiseau. Ils vont, sans souci des frontières, en chenilles non-processionnaires. En désordre absolu !
Ils ont des pensées de flores multiples, d’anémones coquelicots, de lotus bleu d’Egypte. De concert avec les marées. Attentifs aux brises du matin, au sel de la mer délicatement déposé sur des ailes de papillon dont ils font des chapeaux.
Alors, ils saluent bien bas les champignons vénéneux. Car l’amanite est susceptible. Elle tue sans remord les mouches, les panthères impolies, les Césars triomphants.
Les gens libres ont des doigts pour effleurer le dos des scarabées. Au pousse-pied d’Asturies, ils marient la palourde, les plumes d’échassier, la chrysalide d’or. Ils s’enrobent de mousse et pensent à la mort. Aux bagnes des Guyanes luxuriantes. Dans l’ombre des lianes constrictors.
Ces gens-là ont des dents. Elles leur servent parfois à sourire et à mordre. Les écorces de chênes en portent les blessures. Elles saignent en de riants torrents d’hydromel et de sève, où vont boire la libellule et l’abeille, le pic-vert et l’autour. A l’heure où des mouvements graciles demandent à la grande ourse de revenir sur terre.
Les gens libres ne sont pas en conflit avec l’univers.
Ils ont des vagues à l’âme. Des bleus comme des offrandes. Ils aiment les chardons et les serres d’épervier. Ils pleurent en silence sous les eucalyptus. Ils implorent les fougères, les rouges-gorges graciles.
Ils nous supplient de vivre !

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Ces gens-là
Les gens libres le sont !
Ils n’ont pas à le démontrer.
En auraient-ils seulement l’envie ou le désir ?
Peut-être ne savent-ils même pas qu’ils échappent douloureusement à la conformité, à l’ordre social, à l’uniformisation des apparences et des idées.
Ils sont poètes, et tremblent d’émotion en se parant de varech et de plumes d’oiseau. Ils vont, sans souci des frontières, en chenilles non-processionnaires. En désordre absolu !
Ils ont des pensées de flores multiples, d’anémones coquelicots, de lotus bleu d’Egypte. De concert avec les marées. Attentifs aux brises du matin, au sel de la mer délicatement déposé sur des ailes de papillon dont ils font des chapeaux.
Alors, ils saluent bien bas les champignons vénéneux. Car l’amanite est susceptible. Elle tue sans remord les mouches, les panthères impolies, les Césars triomphants.
Les gens libres ont des doigts pour effleurer le dos des scarabées. Au pousse-pied d’Asturies, ils marient la palourde, les plumes d’échassier, la chrysalide d’or. Ils s’enrobent de mousse et pensent à la mort. Aux bagnes des Guyanes luxuriantes. Dans l’ombre des lianes constrictors.
Ces gens-là ont des dents. Elles leur servent parfois à sourire et à mordre. Les écorces de chênes en portent les blessures. Elles saignent en de riants torrents d’hydromel et de sève, où vont boire la libellule et l’abeille, le pic-vert et l’autour. A l’heure où des mouvements graciles demandent à la grande ourse de revenir sur terre.
Les gens libres ne sont pas en conflit avec l’univers.
Ils ont des vagues à l’âme. Des bleus comme des offrandes. Ils aiment les chardons et les serres d’épervier. Ils pleurent en silence sous les eucalyptus. Ils implorent les fougères, les rouges-gorges graciles.
Ils nous supplient de vivre !

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Les gens libres le sont !
Ils n’ont pas à le démontrer.
En auraient-ils seulement l’envie ou le désir ?
Peut-être ne savent-ils même pas qu’ils échappent douloureusement à la conformité, à l’ordre social, à l’uniformisation des apparences et des idées.
Ils sont poètes, et tremblent d’émotion en se parant de varech et de plumes d’oiseau. Ils vont, sans souci des frontières, en chenilles non-processionnaires. En désordre absolu !
Ils ont des pensées de flores multiples, d’anémones coquelicots, de lotus bleu d’Egypte. De concert avec les marées. Attentifs aux brises du matin, au sel de la mer délicatement déposé sur des ailes de papillon dont ils font des chapeaux.
Alors, ils saluent bien bas les champignons vénéneux. Car l’amanite est susceptible. Elle tue sans remord les mouches, les panthères impolies, les Césars triomphants.
Les gens libres ont des doigts pour effleurer le dos des scarabées. Au pousse-pied d’Asturies, ils marient la palourde, les plumes d’échassier, la chrysalide d’or. Ils s’enrobent de mousse et pensent à la mort. Aux bagnes des Guyanes luxuriantes. Dans l’ombre des lianes constrictors.
Ces gens-là ont des dents. Elles leur servent parfois à sourire et à mordre. Les écorces de chênes en portent les blessures. Elles saignent en de riants torrents d’hydromel et de sève, où vont boire la libellule et l’abeille, le pic-vert et l’autour. A l’heure où des mouvements graciles demandent à la grande ourse de revenir sur terre.
Les gens libres ne sont pas en conflit avec l’univers.
Ils ont des vagues à l’âme. Des bleus comme des offrandes. Ils aiment les chardons et les serres d’épervier. Ils pleurent en silence sous les eucalyptus. Ils implorent les fougères, les rouges-gorges graciles.
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Ils sont poètes, et tremblent d’émotion en se parant de varech et de plumes d’oiseau. Ils vont, sans souci des frontières, en chenilles non-processionnaires. En désordre absolu !
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Les gens libres ont des doigts pour effleurer le dos des scarabées. Au pousse-pied d’Asturies, ils marient la palourde, les plumes d’échassier, la chrysalide d’or. Ils s’enrobent de mousse et pensent à la mort. Aux bagnes des Guyanes luxuriantes. Dans l’ombre des lianes constrictors.
Ces gens-là ont des dents. Elles leur servent parfois à sourire et à mordre. Les écorces de chênes en portent les blessures. Elles saignent en de riants torrents d’hydromel et de sève, où vont boire la libellule et l’abeille, le pic-vert et l’autour. A l’heure où des mouvements graciles demandent à la grande ourse de revenir sur terre.
Les gens libres ne sont pas en conflit avec l’univers.
Ils ont des vagues à l’âme. Des bleus comme des offrandes. Ils aiment les chardons et les serres d’épervier. Ils pleurent en silence sous les eucalyptus. Ils implorent les fougères, les rouges-gorges graciles.
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Les gens libres le sont !
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En auraient-ils seulement l’envie ou le désir ?
Peut-être ne savent-ils même pas qu’ils échappent douloureusement à la conformité, à l’ordre social, à l’uniformisation des apparences et des idées.
Ils sont poètes, et tremblent d’émotion en se parant de varech et de plumes d’oiseau. Ils vont, sans souci des frontières, en chenilles non-processionnaires. En désordre absolu !
Ils ont des pensées de flores multiples, d’anémones coquelicots, de lotus bleu d’Egypte. De concert avec les marées. Attentifs aux brises du matin, au sel de la mer délicatement déposé sur des ailes de papillon dont ils font des chapeaux.
Alors, ils saluent bien bas les champignons vénéneux. Car l’amanite est susceptible. Elle tue sans remord les mouches, les panthères impolies, les Césars triomphants.
Les gens libres ont des doigts pour effleurer le dos des scarabées. Au pousse-pied d’Asturies, ils marient la palourde, les plumes d’échassier, la chrysalide d’or. Ils s’enrobent de mousse et pensent à la mort. Aux bagnes des Guyanes luxuriantes. Dans l’ombre des lianes constrictors.
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Ils sont poètes, et tremblent d’émotion en se parant de varech et de plumes d’oiseau. Ils vont, sans souci des frontières, en chenilles non-processionnaires. En désordre absolu !
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Les gens libres ont des doigts pour effleurer le dos des scarabées. Au pousse-pied d’Asturies, ils marient la palourde, les plumes d’échassier, la chrysalide d’or. Ils s’enrobent de mousse et pensent à la mort. Aux bagnes des Guyanes luxuriantes. Dans l’ombre des lianes constrictors.
Ces gens-là ont des dents. Elles leur servent parfois à sourire et à mordre. Les écorces de chênes en portent les blessures. Elles saignent en de riants torrents d’hydromel et de sève, où vont boire la libellule et l’abeille, le pic-vert et l’autour. A l’heure où des mouvements graciles demandent à la grande ourse de revenir sur terre.
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Les gens libres ont des doigts pour effleurer le dos des scarabées. Au pousse-pied d’Asturies, ils marient la palourde, les plumes d’échassier, la chrysalide d’or. Ils s’enrobent de mousse et pensent à la mort. Aux bagnes des Guyanes luxuriantes. Dans l’ombre des lianes constrictors.
Ces gens-là ont des dents. Elles leur servent parfois à sourire et à mordre. Les écorces de chênes en portent les blessures. Elles saignent en de riants torrents d’hydromel et de sève, où vont boire la libellule et l’abeille, le pic-vert et l’autour. A l’heure où des mouvements graciles demandent à la grande ourse de revenir sur terre.
Les gens libres ne sont pas en conflit avec l’univers.
Ils ont des vagues à l’âme. Des bleus comme des offrandes. Ils aiment les chardons et les serres d’épervier. Ils pleurent en silence sous les eucalyptus. Ils implorent les fougères, les rouges-gorges graciles.
Ils nous supplient de vivre !

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Les gens libres le sont !
Ils n’ont pas à le démontrer.
En auraient-ils seulement l’envie ou le désir ?
Peut-être ne savent-ils même pas qu’ils échappent douloureusement à la conformité, à l’ordre social, à l’uniformisation des apparences et des idées.
Ils sont poètes, et tremblent d’émotion en se parant de varech et de plumes d’oiseau. Ils vont, sans souci des frontières, en chenilles non-processionnaires. En désordre absolu !
Ils ont des pensées de flores multiples, d’anémones coquelicots, de lotus bleu d’Egypte. De concert avec les marées. Attentifs aux brises du matin, au sel de la mer délicatement déposé sur des ailes de papillon dont ils font des chapeaux.
Alors, ils saluent bien bas les champignons vénéneux. Car l’amanite est susceptible. Elle tue sans remord les mouches, les panthères impolies, les Césars triomphants.
Les gens libres ont des doigts pour effleurer le dos des scarabées. Au pousse-pied d’Asturies, ils marient la palourde, les plumes d’échassier, la chrysalide d’or. Ils s’enrobent de mousse et pensent à la mort. Aux bagnes des Guyanes luxuriantes. Dans l’ombre des lianes constrictors.
Ces gens-là ont des dents. Elles leur servent parfois à sourire et à mordre. Les écorces de chênes en portent les blessures. Elles saignent en de riants torrents d’hydromel et de sève, où vont boire la libellule et l’abeille, le pic-vert et l’autour. A l’heure où des mouvements graciles demandent à la grande ourse de revenir sur terre.
Les gens libres ne sont pas en conflit avec l’univers.
Ils ont des vagues à l’âme. Des bleus comme des offrandes. Ils aiment les chardons et les serres d’épervier. Ils pleurent en silence sous les eucalyptus. Ils implorent les fougères, les rouges-gorges graciles.
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Les gens libres le sont !
Ils n’ont pas à le démontrer.
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Peut-être ne savent-ils même pas qu’ils échappent douloureusement à la conformité, à l’ordre social, à l’uniformisation des apparences et des idées.
Ils sont poètes, et tremblent d’émotion en se parant de varech et de plumes d’oiseau. Ils vont, sans souci des frontières, en chenilles non-processionnaires. En désordre absolu !
Ils ont des pensées de flores multiples, d’anémones coquelicots, de lotus bleu d’Egypte. De concert avec les marées. Attentifs aux brises du matin, au sel de la mer délicatement déposé sur des ailes de papillon dont ils font des chapeaux.
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Ils ont des vagues à l’âme. Des bleus comme des offrandes. Ils aiment les chardons et les serres d’épervier. Ils pleurent en silence sous les eucalyptus. Ils implorent les fougères, les rouges-gorges graciles.
Ils nous supplient de vivre !

Pétra Werlé De la Nature des choses 2010 Edition Castor & Pollux

Ces gens-là
Les gens libres le sont !
Ils n’ont pas à le démontrer.
En auraient-ils seulement l’envie ou le désir ?
Peut-être ne savent-ils même pas qu’ils échappent douloureusement à la conformité, à l’ordre social, à l’uniformisation des apparences et des idées.
Ils sont poètes, et tremblent d’émotion en se parant de varech et de plumes d’oiseau. Ils vont, sans souci des frontières, en chenilles non-processionnaires. En désordre absolu !
Ils ont des pensées de flores multiples, d’anémones coquelicots, de lotus bleu d’Egypte. De concert avec les marées. Attentifs aux brises du matin, au sel de la mer délicatement déposé sur des ailes de papillon dont ils font des chapeaux.
Alors, ils saluent bien bas les champignons vénéneux. Car l’amanite est susceptible. Elle tue sans remord les mouches, les panthères impolies, les Césars triomphants.
Les gens libres ont des doigts pour effleurer le dos des scarabées. Au pousse-pied d’Asturies, ils marient la palourde, les plumes d’échassier, la chrysalide d’or. Ils s’enrobent de mousse et pensent à la mort. Aux bagnes des Guyanes luxuriantes. Dans l’ombre des lianes constrictors.
Ces gens-là ont des dents. Elles leur servent parfois à sourire et à mordre. Les écorces de chênes en portent les blessures. Elles saignent en de riants torrents d’hydromel et de sève, où vont boire la libellule et l’abeille, le pic-vert et l’autour. A l’heure où des mouvements graciles demandent à la grande ourse de revenir sur terre.
Les gens libres ne sont pas en conflit avec l’univers.
Ils ont des vagues à l’âme. Des bleus comme des offrandes. Ils aiment les chardons et les serres d’épervier. Ils pleurent en silence sous les eucalyptus. Ils implorent les fougères, les rouges-gorges graciles.
Ils nous supplient de vivre !

Pétra Werlé De la Nature des choses 2010 Edition Castor & Pollux

Ces gens-là
Les gens libres le sont !
Ils n’ont pas à le démontrer.
En auraient-ils seulement l’envie ou le désir ?
Peut-être ne savent-ils même pas qu’ils échappent douloureusement à la conformité, à l’ordre social, à l’uniformisation des apparences et des idées.
Ils sont poètes, et tremblent d’émotion en se parant de varech et de plumes d’oiseau. Ils vont, sans souci des frontières, en chenilles non-processionnaires. En désordre absolu !
Ils ont des pensées de flores multiples, d’anémones coquelicots, de lotus bleu d’Egypte. De concert avec les marées. Attentifs aux brises du matin, au sel de la mer délicatement déposé sur des ailes de papillon dont ils font des chapeaux.
Alors, ils saluent bien bas les champignons vénéneux. Car l’amanite est susceptible. Elle tue sans remord les mouches, les panthères impolies, les Césars triomphants.
Les gens libres ont des doigts pour effleurer le dos des scarabées. Au pousse-pied d’Asturies, ils marient la palourde, les plumes d’échassier, la chrysalide d’or. Ils s’enrobent de mousse et pensent à la mort. Aux bagnes des Guyanes luxuriantes. Dans l’ombre des lianes constrictors.
Ces gens-là ont des dents. Elles leur servent parfois à sourire et à mordre. Les écorces de chênes en portent les blessures. Elles saignent en de riants torrents d’hydromel et de sève, où vont boire la libellule et l’abeille, le pic-vert et l’autour. A l’heure où des mouvements graciles demandent à la grande ourse de revenir sur terre.
Les gens libres ne sont pas en conflit avec l’univers.
Ils ont des vagues à l’âme. Des bleus comme des offrandes. Ils aiment les chardons et les serres d’épervier. Ils pleurent en silence sous les eucalyptus. Ils implorent les fougères, les rouges-gorges graciles.
Ils nous supplient de vivre !

Pétra Werlé De la Nature des choses 2010 Edition Castor & Pollux

Ces gens-là
Les gens libres le sont !
Ils n’ont pas à le démontrer.
En auraient-ils seulement l’envie ou le désir ?
Peut-être ne savent-ils même pas qu’ils échappent douloureusement à la conformité, à l’ordre social, à l’uniformisation des apparences et des idées.
Ils sont poètes, et tremblent d’émotion en se parant de varech et de plumes d’oiseau. Ils vont, sans souci des frontières, en chenilles non-processionnaires. En désordre absolu !
Ils ont des pensées de flores multiples, d’anémones coquelicots, de lotus bleu d’Egypte. De concert avec les marées. Attentifs aux brises du matin, au sel de la mer délicatement déposé sur des ailes de papillon dont ils font des chapeaux.
Alors, ils saluent bien bas les champignons vénéneux. Car l’amanite est susceptible. Elle tue sans remord les mouches, les panthères impolies, les Césars triomphants.
Les gens libres ont des doigts pour effleurer le dos des scarabées. Au pousse-pied d’Asturies, ils marient la palourde, les plumes d’échassier, la chrysalide d’or. Ils s’enrobent de mousse et pensent à la mort. Aux bagnes des Guyanes luxuriantes. Dans l’ombre des lianes constrictors.
Ces gens-là ont des dents. Elles leur servent parfois à sourire et à mordre. Les écorces de chênes en portent les blessures. Elles saignent en de riants torrents d’hydromel et de sève, où vont boire la libellule et l’abeille, le pic-vert et l’autour. A l’heure où des mouvements graciles demandent à la grande ourse de revenir sur terre.
Les gens libres ne sont pas en conflit avec l’univers.
Ils ont des vagues à l’âme. Des bleus comme des offrandes. Ils aiment les chardons et les serres d’épervier. Ils pleurent en silence sous les eucalyptus. Ils implorent les fougères, les rouges-gorges graciles.
Ils nous supplient de vivre !

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Les gens libres le sont !
Ils n’ont pas à le démontrer.
En auraient-ils seulement l’envie ou le désir ?
Peut-être ne savent-ils même pas qu’ils échappent douloureusement à la conformité, à l’ordre social, à l’uniformisation des apparences et des idées.
Ils sont poètes, et tremblent d’émotion en se parant de varech et de plumes d’oiseau. Ils vont, sans souci des frontières, en chenilles non-processionnaires. En désordre absolu !
Ils ont des pensées de flores multiples, d’anémones coquelicots, de lotus bleu d’Egypte. De concert avec les marées. Attentifs aux brises du matin, au sel de la mer délicatement déposé sur des ailes de papillon dont ils font des chapeaux.
Alors, ils saluent bien bas les champignons vénéneux. Car l’amanite est susceptible. Elle tue sans remord les mouches, les panthères impolies, les Césars triomphants.
Les gens libres ont des doigts pour effleurer le dos des scarabées. Au pousse-pied d’Asturies, ils marient la palourde, les plumes d’échassier, la chrysalide d’or. Ils s’enrobent de mousse et pensent à la mort. Aux bagnes des Guyanes luxuriantes. Dans l’ombre des lianes constrictors.
Ces gens-là ont des dents. Elles leur servent parfois à sourire et à mordre. Les écorces de chênes en portent les blessures. Elles saignent en de riants torrents d’hydromel et de sève, où vont boire la libellule et l’abeille, le pic-vert et l’autour. A l’heure où des mouvements graciles demandent à la grande ourse de revenir sur terre.
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Ils ont des vagues à l’âme. Des bleus comme des offrandes. Ils aiment les chardons et les serres d’épervier. Ils pleurent en silence sous les eucalyptus. Ils implorent les fougères, les rouges-gorges graciles.
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Les gens libres ne sont pas en conflit avec l’univers.
Ils ont des vagues à l’âme. Des bleus comme des offrandes. Ils aiment les chardons et les serres d’épervier. Ils pleurent en silence sous les eucalyptus. Ils implorent les fougères, les rouges-gorges graciles.
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Ils sont poètes, et tremblent d’émotion en se parant de varech et de plumes d’oiseau. Ils vont, sans souci des frontières, en chenilles non-processionnaires. En désordre absolu !
Ils ont des pensées de flores multiples, d’anémones coquelicots, de lotus bleu d’Egypte. De concert avec les marées. Attentifs aux brises du matin, au sel de la mer délicatement déposé sur des ailes de papillon dont ils font des chapeaux.
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Les gens libres ont des doigts pour effleurer le dos des scarabées. Au pousse-pied d’Asturies, ils marient la palourde, les plumes d’échassier, la chrysalide d’or. Ils s’enrobent de mousse et pensent à la mort. Aux bagnes des Guyanes luxuriantes. Dans l’ombre des lianes constrictors.
Ces gens-là ont des dents. Elles leur servent parfois à sourire et à mordre. Les écorces de chênes en portent les blessures. Elles saignent en de riants torrents d’hydromel et de sève, où vont boire la libellule et l’abeille, le pic-vert et l’autour. A l’heure où des mouvements graciles demandent à la grande ourse de revenir sur terre.
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Ils ont des vagues à l’âme. Des bleus comme des offrandes. Ils aiment les chardons et les serres d’épervier. Ils pleurent en silence sous les eucalyptus. Ils implorent les fougères, les rouges-gorges graciles.
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Ils sont poètes, et tremblent d’émotion en se parant de varech et de plumes d’oiseau. Ils vont, sans souci des frontières, en chenilles non-processionnaires. En désordre absolu !
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Ces gens-là ont des dents. Elles leur servent parfois à sourire et à mordre. Les écorces de chênes en portent les blessures. Elles saignent en de riants torrents d’hydromel et de sève, où vont boire la libellule et l’abeille, le pic-vert et l’autour. A l’heure où des mouvements graciles demandent à la grande ourse de revenir sur terre.
Les gens libres ne sont pas en conflit avec l’univers.
Ils ont des vagues à l’âme. Des bleus comme des offrandes. Ils aiment les chardons et les serres d’épervier. Ils pleurent en silence sous les eucalyptus. Ils implorent les fougères, les rouges-gorges graciles.
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Ils n’ont pas à le démontrer.
En auraient-ils seulement l’envie ou le désir ?
Peut-être ne savent-ils même pas qu’ils échappent douloureusement à la conformité, à l’ordre social, à l’uniformisation des apparences et des idées.
Ils sont poètes, et tremblent d’émotion en se parant de varech et de plumes d’oiseau. Ils vont, sans souci des frontières, en chenilles non-processionnaires. En désordre absolu !
Ils ont des pensées de flores multiples, d’anémones coquelicots, de lotus bleu d’Egypte. De concert avec les marées. Attentifs aux brises du matin, au sel de la mer délicatement déposé sur des ailes de papillon dont ils font des chapeaux.
Alors, ils saluent bien bas les champignons vénéneux. Car l’amanite est susceptible. Elle tue sans remord les mouches, les panthères impolies, les Césars triomphants.
Les gens libres ont des doigts pour effleurer le dos des scarabées. Au pousse-pied d’Asturies, ils marient la palourde, les plumes d’échassier, la chrysalide d’or. Ils s’enrobent de mousse et pensent à la mort. Aux bagnes des Guyanes luxuriantes. Dans l’ombre des lianes constrictors.
Ces gens-là ont des dents. Elles leur servent parfois à sourire et à mordre. Les écorces de chênes en portent les blessures. Elles saignent en de riants torrents d’hydromel et de sève, où vont boire la libellule et l’abeille, le pic-vert et l’autour. A l’heure où des mouvements graciles demandent à la grande ourse de revenir sur terre.
Les gens libres ne sont pas en conflit avec l’univers.
Ils ont des vagues à l’âme. Des bleus comme des offrandes. Ils aiment les chardons et les serres d’épervier. Ils pleurent en silence sous les eucalyptus. Ils implorent les fougères, les rouges-gorges graciles.
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Les gens libres le sont !
Ils n’ont pas à le démontrer.
En auraient-ils seulement l’envie ou le désir ?
Peut-être ne savent-ils même pas qu’ils échappent douloureusement à la conformité, à l’ordre social, à l’uniformisation des apparences et des idées.
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Peut-être ne savent-ils même pas qu’ils échappent douloureusement à la conformité, à l’ordre social, à l’uniformisation des apparences et des idées.
Ils sont poètes, et tremblent d’émotion en se parant de varech et de plumes d’oiseau. Ils vont, sans souci des frontières, en chenilles non-processionnaires. En désordre absolu !
Ils ont des pensées de flores multiples, d’anémones coquelicots, de lotus bleu d’Egypte. De concert avec les marées. Attentifs aux brises du matin, au sel de la mer délicatement déposé sur des ailes de papillon dont ils font des chapeaux.
Alors, ils saluent bien bas les champignons vénéneux. Car l’amanite est susceptible. Elle tue sans remord les mouches, les panthères impolies, les Césars triomphants.
Les gens libres ont des doigts pour effleurer le dos des scarabées. Au pousse-pied d’Asturies, ils marient la palourde, les plumes d’échassier, la chrysalide d’or. Ils s’enrobent de mousse et pensent à la mort. Aux bagnes des Guyanes luxuriantes. Dans l’ombre des lianes constrictors.
Ces gens-là ont des dents. Elles leur servent parfois à sourire et à mordre. Les écorces de chênes en portent les blessures. Elles saignent en de riants torrents d’hydromel et de sève, où vont boire la libellule et l’abeille, le pic-vert et l’autour. A l’heure où des mouvements graciles demandent à la grande ourse de revenir sur terre.
Les gens libres ne sont pas en conflit avec l’univers.
Ils ont des vagues à l’âme. Des bleus comme des offrandes. Ils aiment les chardons et les serres d’épervier. Ils pleurent en silence sous les eucalyptus. Ils implorent les fougères, les rouges-gorges graciles.
Ils nous supplient de vivre !

Pétra Werlé De la Nature des choses 2010 Edition Castor & Pollux

Ces gens-là
Les gens libres le sont !
Ils n’ont pas à le démontrer.
En auraient-ils seulement l’envie ou le désir ?
Peut-être ne savent-ils même pas qu’ils échappent douloureusement à la conformité, à l’ordre social, à l’uniformisation des apparences et des idées.
Ils sont poètes, et tremblent d’émotion en se parant de varech et de plumes d’oiseau. Ils vont, sans souci des frontières, en chenilles non-processionnaires. En désordre absolu !
Ils ont des pensées de flores multiples, d’anémones coquelicots, de lotus bleu d’Egypte. De concert avec les marées. Attentifs aux brises du matin, au sel de la mer délicatement déposé sur des ailes de papillon dont ils font des chapeaux.
Alors, ils saluent bien bas les champignons vénéneux. Car l’amanite est susceptible. Elle tue sans remord les mouches, les panthères impolies, les Césars triomphants.
Les gens libres ont des doigts pour effleurer le dos des scarabées. Au pousse-pied d’Asturies, ils marient la palourde, les plumes d’échassier, la chrysalide d’or. Ils s’enrobent de mousse et pensent à la mort. Aux bagnes des Guyanes luxuriantes. Dans l’ombre des lianes constrictors.
Ces gens-là ont des dents. Elles leur servent parfois à sourire et à mordre. Les écorces de chênes en portent les blessures. Elles saignent en de riants torrents d’hydromel et de sève, où vont boire la libellule et l’abeille, le pic-vert et l’autour. A l’heure où des mouvements graciles demandent à la grande ourse de revenir sur terre.
Les gens libres ne sont pas en conflit avec l’univers.
Ils ont des vagues à l’âme. Des bleus comme des offrandes. Ils aiment les chardons et les serres d’épervier. Ils pleurent en silence sous les eucalyptus. Ils implorent les fougères, les rouges-gorges graciles.
Ils nous supplient de vivre !

Pétra Werlé De la Nature des choses 2010 Edition Castor & Pollux

Ces gens-là
Les gens libres le sont !
Ils n’ont pas à le démontrer.
En auraient-ils seulement l’envie ou le désir ?
Peut-être ne savent-ils même pas qu’ils échappent douloureusement à la conformité, à l’ordre social, à l’uniformisation des apparences et des idées.
Ils sont poètes, et tremblent d’émotion en se parant de varech et de plumes d’oiseau. Ils vont, sans souci des frontières, en chenilles non-processionnaires. En désordre absolu !
Ils ont des pensées de flores multiples, d’anémones coquelicots, de lotus bleu d’Egypte. De concert avec les marées. Attentifs aux brises du matin, au sel de la mer délicatement déposé sur des ailes de papillon dont ils font des chapeaux.
Alors, ils saluent bien bas les champignons vénéneux. Car l’amanite est susceptible. Elle tue sans remord les mouches, les panthères impolies, les Césars triomphants.
Les gens libres ont des doigts pour effleurer le dos des scarabées. Au pousse-pied d’Asturies, ils marient la palourde, les plumes d’échassier, la chrysalide d’or. Ils s’enrobent de mousse et pensent à la mort. Aux bagnes des Guyanes luxuriantes. Dans l’ombre des lianes constrictors.
Ces gens-là ont des dents. Elles leur servent parfois à sourire et à mordre. Les écorces de chênes en portent les blessures. Elles saignent en de riants torrents d’hydromel et de sève, où vont boire la libellule et l’abeille, le pic-vert et l’autour. A l’heure où des mouvements graciles demandent à la grande ourse de revenir sur terre.
Les gens libres ne sont pas en conflit avec l’univers.
Ils ont des vagues à l’âme. Des bleus comme des offrandes. Ils aiment les chardons et les serres d’épervier. Ils pleurent en silence sous les eucalyptus. Ils implorent les fougères, les rouges-gorges graciles.
Ils nous supplient de vivre !

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Les gens libres le sont !
Ils n’ont pas à le démontrer.
En auraient-ils seulement l’envie ou le désir ?
Peut-être ne savent-ils même pas qu’ils échappent douloureusement à la conformité, à l’ordre social, à l’uniformisation des apparences et des idées.
Ils sont poètes, et tremblent d’émotion en se parant de varech et de plumes d’oiseau. Ils vont, sans souci des frontières, en chenilles non-processionnaires. En désordre absolu !
Ils ont des pensées de flores multiples, d’anémones coquelicots, de lotus bleu d’Egypte. De concert avec les marées. Attentifs aux brises du matin, au sel de la mer délicatement déposé sur des ailes de papillon dont ils font des chapeaux.
Alors, ils saluent bien bas les champignons vénéneux. Car l’amanite est susceptible. Elle tue sans remord les mouches, les panthères impolies, les Césars triomphants.
Les gens libres ont des doigts pour effleurer le dos des scarabées. Au pousse-pied d’Asturies, ils marient la palourde, les plumes d’échassier, la chrysalide d’or. Ils s’enrobent de mousse et pensent à la mort. Aux bagnes des Guyanes luxuriantes. Dans l’ombre des lianes constrictors.
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Les gens libres ne sont pas en conflit avec l’univers.
Ils ont des vagues à l’âme. Des bleus comme des offrandes. Ils aiment les chardons et les serres d’épervier. Ils pleurent en silence sous les eucalyptus. Ils implorent les fougères, les rouges-gorges graciles.
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En auraient-ils seulement l’envie ou le désir ?
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Ils sont poètes, et tremblent d’émotion en se parant de varech et de plumes d’oiseau. Ils vont, sans souci des frontières, en chenilles non-processionnaires. En désordre absolu !
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Alors, ils saluent bien bas les champignons vénéneux. Car l’amanite est susceptible. Elle tue sans remord les mouches, les panthères impolies, les Césars triomphants.
Les gens libres ont des doigts pour effleurer le dos des scarabées. Au pousse-pied d’Asturies, ils marient la palourde, les plumes d’échassier, la chrysalide d’or. Ils s’enrobent de mousse et pensent à la mort. Aux bagnes des Guyanes luxuriantes. Dans l’ombre des lianes constrictors.
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Les gens libres ne sont pas en conflit avec l’univers.
Ils ont des vagues à l’âme. Des bleus comme des offrandes. Ils aiment les chardons et les serres d’épervier. Ils pleurent en silence sous les eucalyptus. Ils implorent les fougères, les rouges-gorges graciles.
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Ils sont poètes, et tremblent d’émotion en se parant de varech et de plumes d’oiseau. Ils vont, sans souci des frontières, en chenilles non-processionnaires. En désordre absolu !
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Alors, ils saluent bien bas les champignons vénéneux. Car l’amanite est susceptible. Elle tue sans remord les mouches, les panthères impolies, les Césars triomphants.
Les gens libres ont des doigts pour effleurer le dos des scarabées. Au pousse-pied d’Asturies, ils marient la palourde, les plumes d’échassier, la chrysalide d’or. Ils s’enrobent de mousse et pensent à la mort. Aux bagnes des Guyanes luxuriantes. Dans l’ombre des lianes constrictors.
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Les gens libres ne sont pas en conflit avec l’univers.
Ils ont des vagues à l’âme. Des bleus comme des offrandes. Ils aiment les chardons et les serres d’épervier. Ils pleurent en silence sous les eucalyptus. Ils implorent les fougères, les rouges-gorges graciles.
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Ils sont poètes, et tremblent d’émotion en se parant de varech et de plumes d’oiseau. Ils vont, sans souci des frontières, en chenilles non-processionnaires. En désordre absolu !
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Les gens libres ont des doigts pour effleurer le dos des scarabées. Au pousse-pied d’Asturies, ils marient la palourde, les plumes d’échassier, la chrysalide d’or. Ils s’enrobent de mousse et pensent à la mort. Aux bagnes des Guyanes luxuriantes. Dans l’ombre des lianes constrictors.
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Ils ont des vagues à l’âme. Des bleus comme des offrandes. Ils aiment les chardons et les serres d’épervier. Ils pleurent en silence sous les eucalyptus. Ils implorent les fougères, les rouges-gorges graciles.
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Ils sont poètes, et tremblent d’émotion en se parant de varech et de plumes d’oiseau. Ils vont, sans souci des frontières, en chenilles non-processionnaires. En désordre absolu !
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Les gens libres ont des doigts pour effleurer le dos des scarabées. Au pousse-pied d’Asturies, ils marient la palourde, les plumes d’échassier, la chrysalide d’or. Ils s’enrobent de mousse et pensent à la mort. Aux bagnes des Guyanes luxuriantes. Dans l’ombre des lianes constrictors.
Ces gens-là ont des dents. Elles leur servent parfois à sourire et à mordre. Les écorces de chênes en portent les blessures. Elles saignent en de riants torrents d’hydromel et de sève, où vont boire la libellule et l’abeille, le pic-vert et l’autour. A l’heure où des mouvements graciles demandent à la grande ourse de revenir sur terre.
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Ces gens-là ont des dents. Elles leur servent parfois à sourire et à mordre. Les écorces de chênes en portent les blessures. Elles saignent en de riants torrents d’hydromel et de sève, où vont boire la libellule et l’abeille, le pic-vert et l’autour. A l’heure où des mouvements graciles demandent à la grande ourse de revenir sur terre.
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Ils ont des pensées de flores multiples, d’anémones coquelicots, de lotus bleu d’Egypte. De concert avec les marées. Attentifs aux brises du matin, au sel de la mer délicatement déposé sur des ailes de papillon dont ils font des chapeaux.
Alors, ils saluent bien bas les champignons vénéneux. Car l’amanite est susceptible. Elle tue sans remord les mouches, les panthères impolies, les Césars triomphants.
Les gens libres ont des doigts pour effleurer le dos des scarabées. Au pousse-pied d’Asturies, ils marient la palourde, les plumes d’échassier, la chrysalide d’or. Ils s’enrobent de mousse et pensent à la mort. Aux bagnes des Guyanes luxuriantes. Dans l’ombre des lianes constrictors.
Ces gens-là ont des dents. Elles leur servent parfois à sourire et à mordre. Les écorces de chênes en portent les blessures. Elles saignent en de riants torrents d’hydromel et de sève, où vont boire la libellule et l’abeille, le pic-vert et l’autour. A l’heure où des mouvements graciles demandent à la grande ourse de revenir sur terre.
Les gens libres ne sont pas en conflit avec l’univers.
Ils ont des vagues à l’âme. Des bleus comme des offrandes. Ils aiment les chardons et les serres d’épervier. Ils pleurent en silence sous les eucalyptus. Ils implorent les fougères, les rouges-gorges graciles.
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Les gens libres le sont !
Ils n’ont pas à le démontrer.
En auraient-ils seulement l’envie ou le désir ?
Peut-être ne savent-ils même pas qu’ils échappent douloureusement à la conformité, à l’ordre social, à l’uniformisation des apparences et des idées.
Ils sont poètes, et tremblent d’émotion en se parant de varech et de plumes d’oiseau. Ils vont, sans souci des frontières, en chenilles non-processionnaires. En désordre absolu !
Ils ont des pensées de flores multiples, d’anémones coquelicots, de lotus bleu d’Egypte. De concert avec les marées. Attentifs aux brises du matin, au sel de la mer délicatement déposé sur des ailes de papillon dont ils font des chapeaux.
Alors, ils saluent bien bas les champignons vénéneux. Car l’amanite est susceptible. Elle tue sans remord les mouches, les panthères impolies, les Césars triomphants.
Les gens libres ont des doigts pour effleurer le dos des scarabées. Au pousse-pied d’Asturies, ils marient la palourde, les plumes d’échassier, la chrysalide d’or. Ils s’enrobent de mousse et pensent à la mort. Aux bagnes des Guyanes luxuriantes. Dans l’ombre des lianes constrictors.
Ces gens-là ont des dents. Elles leur servent parfois à sourire et à mordre. Les écorces de chênes en portent les blessures. Elles saignent en de riants torrents d’hydromel et de sève, où vont boire la libellule et l’abeille, le pic-vert et l’autour. A l’heure où des mouvements graciles demandent à la grande ourse de revenir sur terre.
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Ils ont des pensées de flores multiples, d’anémones coquelicots, de lotus bleu d’Egypte. De concert avec les marées. Attentifs aux brises du matin, au sel de la mer délicatement déposé sur des ailes de papillon dont ils font des chapeaux.
Alors, ils saluent bien bas les champignons vénéneux. Car l’amanite est susceptible. Elle tue sans remord les mouches, les panthères impolies, les Césars triomphants.
Les gens libres ont des doigts pour effleurer le dos des scarabées. Au pousse-pied d’Asturies, ils marient la palourde, les plumes d’échassier, la chrysalide d’or. Ils s’enrobent de mousse et pensent à la mort. Aux bagnes des Guyanes luxuriantes. Dans l’ombre des lianes constrictors.
Ces gens-là ont des dents. Elles leur servent parfois à sourire et à mordre. Les écorces de chênes en portent les blessures. Elles saignent en de riants torrents d’hydromel et de sève, où vont boire la libellule et l’abeille, le pic-vert et l’autour. A l’heure où des mouvements graciles demandent à la grande ourse de revenir sur terre.
Les gens libres ne sont pas en conflit avec l’univers.
Ils ont des vagues à l’âme. Des bleus comme des offrandes. Ils aiment les chardons et les serres d’épervier. Ils pleurent en silence sous les eucalyptus. Ils implorent les fougères, les rouges-gorges graciles.
Ils nous supplient de vivre !