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PEOPLE OF NATURE calendrier Retis Group 2011

A la lisière des grandes forêts du Sud Ethiopien, s’ouvre la vallée de l’Omo. Là, au bord du fleuve, vivent des ethnies parmi les plus singulières d’Afrique : les Mursi, Surma, Karo et Hamer. Tout à la fois éleveurs, chasseurs et guerriers, ils forment un groupe d’individus régis par des rites et des coutumes dont l’origine se perd dans la nuit des temps. Mutilations, scarifications, excisions, peintures corporelles, perles vives, coiffures enduites rythment l’existence de ces populations, mais leur attribut le plus spectaculaire reste  chez les femmes  Surma et Mursi le « labret » d’argile (ornement labial) dont l’usage entraîne une déformation spectaculaire de la bouche. Plus le labret est grand, plus la dot payée par le mari est élevée. Certains labrets peuvent atteindre 30 cm de diamètre. De fait, la taille du plateau représente le nombre de zébus (jusqu’à soixante-dix !). Quand le plateau est cassé, la lèvre pend comme un énorme anneau. Symbole de grande beauté pour les Mursi, le labret n’en finit pas d’intriguer les ethnologues : est-il un objet de séduction et de prestige ? sert-il de protection pour repousser les mauvais esprits ? est-il utilisé pour vénérer le culte des ancêtres ? Nul ne sait vraiment.

 Dans un tourbillon de couleur et de vie, ces tribus développent aussi des richesses d’ingéniosité pour se parer le visage d’ocre et de craie à l’occasion des grandes fêtes. Les hommes et les femmes dessinent alors sur leur corps des formes mythiques et mystérieuses qui reposent sur des spirales et des points. Comme un voyage pour remonter le temps où chacun révèle la carte d’identité de ses propres exploits et se positionne au sein de la tribu.

Publié pour le calendrier 2011 par "Retis group"  Opava.

PEOPLE OF NATURE calendrier Retis Group 2011

A la lisière des grandes forêts du Sud Ethiopien, s’ouvre la vallée de l’Omo. Là, au bord du fleuve, vivent des ethnies parmi les plus singulières d’Afrique : les Mursi, Surma, Karo et Hamer. Tout à la fois éleveurs, chasseurs et guerriers, ils forment un groupe d’individus régis par des rites et des coutumes dont l’origine se perd dans la nuit des temps. Mutilations, scarifications, excisions, peintures corporelles, perles vives, coiffures enduites rythment l’existence de ces populations, mais leur attribut le plus spectaculaire reste  chez les femmes  Surma et Mursi le « labret » d’argile (ornement labial) dont l’usage entraîne une déformation spectaculaire de la bouche. Plus le labret est grand, plus la dot payée par le mari est élevée. Certains labrets peuvent atteindre 30 cm de diamètre. De fait, la taille du plateau représente le nombre de zébus (jusqu’à soixante-dix !). Quand le plateau est cassé, la lèvre pend comme un énorme anneau. Symbole de grande beauté pour les Mursi, le labret n’en finit pas d’intriguer les ethnologues : est-il un objet de séduction et de prestige ? sert-il de protection pour repousser les mauvais esprits ? est-il utilisé pour vénérer le culte des ancêtres ? Nul ne sait vraiment.

 Dans un tourbillon de couleur et de vie, ces tribus développent aussi des richesses d’ingéniosité pour se parer le visage d’ocre et de craie à l’occasion des grandes fêtes. Les hommes et les femmes dessinent alors sur leur corps des formes mythiques et mystérieuses qui reposent sur des spirales et des points. Comme un voyage pour remonter le temps où chacun révèle la carte d’identité de ses propres exploits et se positionne au sein de la tribu.

Publié pour le calendrier 2011 par "Retis group"  Opava.

PEOPLE OF NATURE calendrier Retis Group 2011

A la lisière des grandes forêts du Sud Ethiopien, s’ouvre la vallée de l’Omo. Là, au bord du fleuve, vivent des ethnies parmi les plus singulières d’Afrique : les Mursi, Surma, Karo et Hamer. Tout à la fois éleveurs, chasseurs et guerriers, ils forment un groupe d’individus régis par des rites et des coutumes dont l’origine se perd dans la nuit des temps. Mutilations, scarifications, excisions, peintures corporelles, perles vives, coiffures enduites rythment l’existence de ces populations, mais leur attribut le plus spectaculaire reste  chez les femmes  Surma et Mursi le « labret » d’argile (ornement labial) dont l’usage entraîne une déformation spectaculaire de la bouche. Plus le labret est grand, plus la dot payée par le mari est élevée. Certains labrets peuvent atteindre 30 cm de diamètre. De fait, la taille du plateau représente le nombre de zébus (jusqu’à soixante-dix !). Quand le plateau est cassé, la lèvre pend comme un énorme anneau. Symbole de grande beauté pour les Mursi, le labret n’en finit pas d’intriguer les ethnologues : est-il un objet de séduction et de prestige ? sert-il de protection pour repousser les mauvais esprits ? est-il utilisé pour vénérer le culte des ancêtres ? Nul ne sait vraiment.

 Dans un tourbillon de couleur et de vie, ces tribus développent aussi des richesses d’ingéniosité pour se parer le visage d’ocre et de craie à l’occasion des grandes fêtes. Les hommes et les femmes dessinent alors sur leur corps des formes mythiques et mystérieuses qui reposent sur des spirales et des points. Comme un voyage pour remonter le temps où chacun révèle la carte d’identité de ses propres exploits et se positionne au sein de la tribu.

Publié pour le calendrier 2011 par "Retis group"  Opava.

PEOPLE OF NATURE calendrier Retis Group 2011

A la lisière des grandes forêts du Sud Ethiopien, s’ouvre la vallée de l’Omo. Là, au bord du fleuve, vivent des ethnies parmi les plus singulières d’Afrique : les Mursi, Surma, Karo et Hamer. Tout à la fois éleveurs, chasseurs et guerriers, ils forment un groupe d’individus régis par des rites et des coutumes dont l’origine se perd dans la nuit des temps. Mutilations, scarifications, excisions, peintures corporelles, perles vives, coiffures enduites rythment l’existence de ces populations, mais leur attribut le plus spectaculaire reste  chez les femmes  Surma et Mursi le « labret » d’argile (ornement labial) dont l’usage entraîne une déformation spectaculaire de la bouche. Plus le labret est grand, plus la dot payée par le mari est élevée. Certains labrets peuvent atteindre 30 cm de diamètre. De fait, la taille du plateau représente le nombre de zébus (jusqu’à soixante-dix !). Quand le plateau est cassé, la lèvre pend comme un énorme anneau. Symbole de grande beauté pour les Mursi, le labret n’en finit pas d’intriguer les ethnologues : est-il un objet de séduction et de prestige ? sert-il de protection pour repousser les mauvais esprits ? est-il utilisé pour vénérer le culte des ancêtres ? Nul ne sait vraiment.

 Dans un tourbillon de couleur et de vie, ces tribus développent aussi des richesses d’ingéniosité pour se parer le visage d’ocre et de craie à l’occasion des grandes fêtes. Les hommes et les femmes dessinent alors sur leur corps des formes mythiques et mystérieuses qui reposent sur des spirales et des points. Comme un voyage pour remonter le temps où chacun révèle la carte d’identité de ses propres exploits et se positionne au sein de la tribu.

Publié pour le calendrier 2011 par "Retis group"  Opava.

PEOPLE OF NATURE calendrier Retis Group 2011

A la lisière des grandes forêts du Sud Ethiopien, s’ouvre la vallée de l’Omo. Là, au bord du fleuve, vivent des ethnies parmi les plus singulières d’Afrique : les Mursi, Surma, Karo et Hamer. Tout à la fois éleveurs, chasseurs et guerriers, ils forment un groupe d’individus régis par des rites et des coutumes dont l’origine se perd dans la nuit des temps. Mutilations, scarifications, excisions, peintures corporelles, perles vives, coiffures enduites rythment l’existence de ces populations, mais leur attribut le plus spectaculaire reste  chez les femmes  Surma et Mursi le « labret » d’argile (ornement labial) dont l’usage entraîne une déformation spectaculaire de la bouche. Plus le labret est grand, plus la dot payée par le mari est élevée. Certains labrets peuvent atteindre 30 cm de diamètre. De fait, la taille du plateau représente le nombre de zébus (jusqu’à soixante-dix !). Quand le plateau est cassé, la lèvre pend comme un énorme anneau. Symbole de grande beauté pour les Mursi, le labret n’en finit pas d’intriguer les ethnologues : est-il un objet de séduction et de prestige ? sert-il de protection pour repousser les mauvais esprits ? est-il utilisé pour vénérer le culte des ancêtres ? Nul ne sait vraiment.

 Dans un tourbillon de couleur et de vie, ces tribus développent aussi des richesses d’ingéniosité pour se parer le visage d’ocre et de craie à l’occasion des grandes fêtes. Les hommes et les femmes dessinent alors sur leur corps des formes mythiques et mystérieuses qui reposent sur des spirales et des points. Comme un voyage pour remonter le temps où chacun révèle la carte d’identité de ses propres exploits et se positionne au sein de la tribu.

Publié pour le calendrier 2011 par "Retis group"  Opava.

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A la lisière des grandes forêts du Sud Ethiopien, s’ouvre la vallée de l’Omo. Là, au bord du fleuve, vivent des ethnies parmi les plus singulières d’Afrique : les Mursi, Surma, Karo et Hamer. Tout à la fois éleveurs, chasseurs et guerriers, ils forment un groupe d’individus régis par des rites et des coutumes dont l’origine se perd dans la nuit des temps. Mutilations, scarifications, excisions, peintures corporelles, perles vives, coiffures enduites rythment l’existence de ces populations, mais leur attribut le plus spectaculaire reste  chez les femmes  Surma et Mursi le « labret » d’argile (ornement labial) dont l’usage entraîne une déformation spectaculaire de la bouche. Plus le labret est grand, plus la dot payée par le mari est élevée. Certains labrets peuvent atteindre 30 cm de diamètre. De fait, la taille du plateau représente le nombre de zébus (jusqu’à soixante-dix !). Quand le plateau est cassé, la lèvre pend comme un énorme anneau. Symbole de grande beauté pour les Mursi, le labret n’en finit pas d’intriguer les ethnologues : est-il un objet de séduction et de prestige ? sert-il de protection pour repousser les mauvais esprits ? est-il utilisé pour vénérer le culte des ancêtres ? Nul ne sait vraiment.

 Dans un tourbillon de couleur et de vie, ces tribus développent aussi des richesses d’ingéniosité pour se parer le visage d’ocre et de craie à l’occasion des grandes fêtes. Les hommes et les femmes dessinent alors sur leur corps des formes mythiques et mystérieuses qui reposent sur des spirales et des points. Comme un voyage pour remonter le temps où chacun révèle la carte d’identité de ses propres exploits et se positionne au sein de la tribu.

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A la lisière des grandes forêts du Sud Ethiopien, s’ouvre la vallée de l’Omo. Là, au bord du fleuve, vivent des ethnies parmi les plus singulières d’Afrique : les Mursi, Surma, Karo et Hamer. Tout à la fois éleveurs, chasseurs et guerriers, ils forment un groupe d’individus régis par des rites et des coutumes dont l’origine se perd dans la nuit des temps. Mutilations, scarifications, excisions, peintures corporelles, perles vives, coiffures enduites rythment l’existence de ces populations, mais leur attribut le plus spectaculaire reste  chez les femmes  Surma et Mursi le « labret » d’argile (ornement labial) dont l’usage entraîne une déformation spectaculaire de la bouche. Plus le labret est grand, plus la dot payée par le mari est élevée. Certains labrets peuvent atteindre 30 cm de diamètre. De fait, la taille du plateau représente le nombre de zébus (jusqu’à soixante-dix !). Quand le plateau est cassé, la lèvre pend comme un énorme anneau. Symbole de grande beauté pour les Mursi, le labret n’en finit pas d’intriguer les ethnologues : est-il un objet de séduction et de prestige ? sert-il de protection pour repousser les mauvais esprits ? est-il utilisé pour vénérer le culte des ancêtres ? Nul ne sait vraiment.

 Dans un tourbillon de couleur et de vie, ces tribus développent aussi des richesses d’ingéniosité pour se parer le visage d’ocre et de craie à l’occasion des grandes fêtes. Les hommes et les femmes dessinent alors sur leur corps des formes mythiques et mystérieuses qui reposent sur des spirales et des points. Comme un voyage pour remonter le temps où chacun révèle la carte d’identité de ses propres exploits et se positionne au sein de la tribu.

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A la lisière des grandes forêts du Sud Ethiopien, s’ouvre la vallée de l’Omo. Là, au bord du fleuve, vivent des ethnies parmi les plus singulières d’Afrique : les Mursi, Surma, Karo et Hamer. Tout à la fois éleveurs, chasseurs et guerriers, ils forment un groupe d’individus régis par des rites et des coutumes dont l’origine se perd dans la nuit des temps. Mutilations, scarifications, excisions, peintures corporelles, perles vives, coiffures enduites rythment l’existence de ces populations, mais leur attribut le plus spectaculaire reste  chez les femmes  Surma et Mursi le « labret » d’argile (ornement labial) dont l’usage entraîne une déformation spectaculaire de la bouche. Plus le labret est grand, plus la dot payée par le mari est élevée. Certains labrets peuvent atteindre 30 cm de diamètre. De fait, la taille du plateau représente le nombre de zébus (jusqu’à soixante-dix !). Quand le plateau est cassé, la lèvre pend comme un énorme anneau. Symbole de grande beauté pour les Mursi, le labret n’en finit pas d’intriguer les ethnologues : est-il un objet de séduction et de prestige ? sert-il de protection pour repousser les mauvais esprits ? est-il utilisé pour vénérer le culte des ancêtres ? Nul ne sait vraiment.

 Dans un tourbillon de couleur et de vie, ces tribus développent aussi des richesses d’ingéniosité pour se parer le visage d’ocre et de craie à l’occasion des grandes fêtes. Les hommes et les femmes dessinent alors sur leur corps des formes mythiques et mystérieuses qui reposent sur des spirales et des points. Comme un voyage pour remonter le temps où chacun révèle la carte d’identité de ses propres exploits et se positionne au sein de la tribu.

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A la lisière des grandes forêts du Sud Ethiopien, s’ouvre la vallée de l’Omo. Là, au bord du fleuve, vivent des ethnies parmi les plus singulières d’Afrique : les Mursi, Surma, Karo et Hamer. Tout à la fois éleveurs, chasseurs et guerriers, ils forment un groupe d’individus régis par des rites et des coutumes dont l’origine se perd dans la nuit des temps. Mutilations, scarifications, excisions, peintures corporelles, perles vives, coiffures enduites rythment l’existence de ces populations, mais leur attribut le plus spectaculaire reste  chez les femmes  Surma et Mursi le « labret » d’argile (ornement labial) dont l’usage entraîne une déformation spectaculaire de la bouche. Plus le labret est grand, plus la dot payée par le mari est élevée. Certains labrets peuvent atteindre 30 cm de diamètre. De fait, la taille du plateau représente le nombre de zébus (jusqu’à soixante-dix !). Quand le plateau est cassé, la lèvre pend comme un énorme anneau. Symbole de grande beauté pour les Mursi, le labret n’en finit pas d’intriguer les ethnologues : est-il un objet de séduction et de prestige ? sert-il de protection pour repousser les mauvais esprits ? est-il utilisé pour vénérer le culte des ancêtres ? Nul ne sait vraiment.

 Dans un tourbillon de couleur et de vie, ces tribus développent aussi des richesses d’ingéniosité pour se parer le visage d’ocre et de craie à l’occasion des grandes fêtes. Les hommes et les femmes dessinent alors sur leur corps des formes mythiques et mystérieuses qui reposent sur des spirales et des points. Comme un voyage pour remonter le temps où chacun révèle la carte d’identité de ses propres exploits et se positionne au sein de la tribu.

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A la lisière des grandes forêts du Sud Ethiopien, s’ouvre la vallée de l’Omo. Là, au bord du fleuve, vivent des ethnies parmi les plus singulières d’Afrique : les Mursi, Surma, Karo et Hamer. Tout à la fois éleveurs, chasseurs et guerriers, ils forment un groupe d’individus régis par des rites et des coutumes dont l’origine se perd dans la nuit des temps. Mutilations, scarifications, excisions, peintures corporelles, perles vives, coiffures enduites rythment l’existence de ces populations, mais leur attribut le plus spectaculaire reste  chez les femmes  Surma et Mursi le « labret » d’argile (ornement labial) dont l’usage entraîne une déformation spectaculaire de la bouche. Plus le labret est grand, plus la dot payée par le mari est élevée. Certains labrets peuvent atteindre 30 cm de diamètre. De fait, la taille du plateau représente le nombre de zébus (jusqu’à soixante-dix !). Quand le plateau est cassé, la lèvre pend comme un énorme anneau. Symbole de grande beauté pour les Mursi, le labret n’en finit pas d’intriguer les ethnologues : est-il un objet de séduction et de prestige ? sert-il de protection pour repousser les mauvais esprits ? est-il utilisé pour vénérer le culte des ancêtres ? Nul ne sait vraiment.

 Dans un tourbillon de couleur et de vie, ces tribus développent aussi des richesses d’ingéniosité pour se parer le visage d’ocre et de craie à l’occasion des grandes fêtes. Les hommes et les femmes dessinent alors sur leur corps des formes mythiques et mystérieuses qui reposent sur des spirales et des points. Comme un voyage pour remonter le temps où chacun révèle la carte d’identité de ses propres exploits et se positionne au sein de la tribu.

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A la lisière des grandes forêts du Sud Ethiopien, s’ouvre la vallée de l’Omo. Là, au bord du fleuve, vivent des ethnies parmi les plus singulières d’Afrique : les Mursi, Surma, Karo et Hamer. Tout à la fois éleveurs, chasseurs et guerriers, ils forment un groupe d’individus régis par des rites et des coutumes dont l’origine se perd dans la nuit des temps. Mutilations, scarifications, excisions, peintures corporelles, perles vives, coiffures enduites rythment l’existence de ces populations, mais leur attribut le plus spectaculaire reste  chez les femmes  Surma et Mursi le « labret » d’argile (ornement labial) dont l’usage entraîne une déformation spectaculaire de la bouche. Plus le labret est grand, plus la dot payée par le mari est élevée. Certains labrets peuvent atteindre 30 cm de diamètre. De fait, la taille du plateau représente le nombre de zébus (jusqu’à soixante-dix !). Quand le plateau est cassé, la lèvre pend comme un énorme anneau. Symbole de grande beauté pour les Mursi, le labret n’en finit pas d’intriguer les ethnologues : est-il un objet de séduction et de prestige ? sert-il de protection pour repousser les mauvais esprits ? est-il utilisé pour vénérer le culte des ancêtres ? Nul ne sait vraiment.

 Dans un tourbillon de couleur et de vie, ces tribus développent aussi des richesses d’ingéniosité pour se parer le visage d’ocre et de craie à l’occasion des grandes fêtes. Les hommes et les femmes dessinent alors sur leur corps des formes mythiques et mystérieuses qui reposent sur des spirales et des points. Comme un voyage pour remonter le temps où chacun révèle la carte d’identité de ses propres exploits et se positionne au sein de la tribu.

Publié pour le calendrier 2011 par "Retis group"  Opava.

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A la lisière des grandes forêts du Sud Ethiopien, s’ouvre la vallée de l’Omo. Là, au bord du fleuve, vivent des ethnies parmi les plus singulières d’Afrique : les Mursi, Surma, Karo et Hamer. Tout à la fois éleveurs, chasseurs et guerriers, ils forment un groupe d’individus régis par des rites et des coutumes dont l’origine se perd dans la nuit des temps. Mutilations, scarifications, excisions, peintures corporelles, perles vives, coiffures enduites rythment l’existence de ces populations, mais leur attribut le plus spectaculaire reste  chez les femmes  Surma et Mursi le « labret » d’argile (ornement labial) dont l’usage entraîne une déformation spectaculaire de la bouche. Plus le labret est grand, plus la dot payée par le mari est élevée. Certains labrets peuvent atteindre 30 cm de diamètre. De fait, la taille du plateau représente le nombre de zébus (jusqu’à soixante-dix !). Quand le plateau est cassé, la lèvre pend comme un énorme anneau. Symbole de grande beauté pour les Mursi, le labret n’en finit pas d’intriguer les ethnologues : est-il un objet de séduction et de prestige ? sert-il de protection pour repousser les mauvais esprits ? est-il utilisé pour vénérer le culte des ancêtres ? Nul ne sait vraiment.

 Dans un tourbillon de couleur et de vie, ces tribus développent aussi des richesses d’ingéniosité pour se parer le visage d’ocre et de craie à l’occasion des grandes fêtes. Les hommes et les femmes dessinent alors sur leur corps des formes mythiques et mystérieuses qui reposent sur des spirales et des points. Comme un voyage pour remonter le temps où chacun révèle la carte d’identité de ses propres exploits et se positionne au sein de la tribu.

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